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11/03/2011

En pause pour une semaine

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Gary Cooper sur le plateau de Vera Cruz (1953) de Robert Aldrich. Source : une incroyable collection de photographies de plateau sur A certain cinema.

23/11/2010

Le Corbucci-Godard Blogathon du 2 au 9 décembre

Peu s'en souviennent, mais le 2 décembre 1990 Sergio Corbucci succombait à une crise cardiaque à l'âge de 63 ans. Il y aura 20 ans jeudi prochain que le réalisateur de Romolo e Remo (Romulus et Rémus – 1962), Django (1966), Il mercenario (Le mercenaire - 1968), Il grande silenzio (Le grand silence - 1968) et Chi trova un amico, trova un tesoro (Salut l'ami, adieu le trésor - 1981), a disparu. Venise l'a honoré en septembre sous la houlette de son admirateur Quentin Tarantino mais cet hommage ne saurait être complet sans celui d'Inisfree.

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Nul ne l'ignore, le 3 décembre 1930 naissait Jean-Luc Godard qui soufflera donc ses 80 bougies. Film Socialisme a montré cette année que cet homme de passion n'était pas à bout de souffle même s'il fait plus que jamais bande à part. Les américains viennent de l'honorer d'un Oscar. Pouvons nous faire moins ? Non !

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Célébrer la mémoire de l'un et la vitalité de l'autre, pour ce faire je vous propose, amis de la blogosphère et au-delà, un Corbucci-Godard Blogathon du 2 au 9 décembre 2010. Cela sera beau comme la rencontre sur une table de dissection d'un parapluie et d'une machine à coudre. Qui sera le parapluie ? Qui sera la machine à coudre ? Mystère et caramel mou. J'admets que le rapprochement peut sembler incongru, sacrilège même pour certains admirateurs de l'un voire de l'autre. Les différences sont nombreuses entre le romain bon vivant, expansif, dont on disait qu'il ne venait tourner que vers midi, amateur de comédie et d'action, de personnages de prostituées aux cheveux roux et de décors de cimetières, à l'aise dans un système de production classique et dans le cinéma de genre le plus pur, populaire et commercial ; et le « plus con des suisses pro chinois » comme l'ont raillé les situationnistes, austère, génial, tourmenté, chercheur inlassable, avide d'expériences, curieux de toutes les techniques, bosseur, théoricien, aux rapports compliqués avec la production et bien d'autres choses, désireux avant tout d’indépendance au point de s'exiler au pays de son enfance pour y monter son propre atelier de fabrication d'images et de sons.

Ce qui les rapproche, parlons cinéma, n'est pourtant pas nul et peut se révéler excitant. Révélés au début des années 60, ils sont tous deux des créateurs de formes qui ont bousculé un cinéma établi, joué avec les figures classiques, imposé des regards neufs, décalés, iconoclastes, manié l'humour, la violence et l'érotisme de façon inédite, souvent provocatrice, inventé de nouveaux jeux de montage et de couleurs. Leurs cinémas, bien que différents, ont marqué leur époque et influencé de manière irréversible tout ce qui a suivi. Leur héritage est toujours bien vivant.

Le principe du blog-a-thon est simple : il s'agit d'écrire sur Sergio Corbucci ou sur Jean-Luc Godard, ou sur les deux éventuellement, entre le 3 et le 9 décembre. Je compilerais les diverses contributions. Ce sera comme un bouquet varié en l'honneur des deux réalisateurs. Vous pouvez, pour préparer la chose, vous inscrire en commentaire ci-dessous.

Photographies : capture DVD Canal + et Listal.com

13/11/2010

6 années d'Inisfree

Joyeux anniversaire (Voix suave)

Joyeux anniversaire (Voix encore plus suave)

Joyeux anniversaire mister blog (Soupir ému)

Joyeux anniversaire (Clap, clap, clap)

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Photographie de Milton H. Greene (1953)

14/10/2010

Les 10 salopards - Partie 2

L'histoire fourmille d'ordures en tout genre, dictateurs, tyrans, inquisiteurs, chefs de guerre et de milice, dont le cinéma s'est emparé avec gourmandise. L'une des figures les plus gratinées est celle de l'empereur Caligula. Oderint, dum metuant. Les épisodes de son règne, réels ou légendaires, sont connus. Rien n'égale le portrait qu'en a donné Malcolm McDowell dans le Caligola (1979) de Tinto Brass. McDowell, déjà, rien que de voir son visage de poupon pervers, les poils du dos se hérissent. Ici, lâché en liberté, il promène son rictus en forme de sourire sadique dans les décors opératiques de Danilo Donati. Il faut l'avoir vu, nu sous l'orage, arpenter les terrasses de son palais, le pouce levé, criant à la face du ciel qu'il est Dieu. Il faut l'avoir vu.

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De Caligula à Messaline, il n'y a qu'un pas que je m'empresse de franchir. L'impératrice scandaleuse a inspiré pas mal de monde mais la plus vicieuse selon moi est celle de Belinda Lee dans le Messalina, venere imperatrice (1960) de Vittorio Cottafavi. Grande, féline, sublime, les mains longues et dansantes, elle séduit puis frappe, retorse et sans pitié, usant de tous ses charmes pour frayer sa voie dans ce monde d'hommes. Elle retourne ainsi de son œil de biche l'officier joué par le juvénile Giuliano Gemma, venu pour la tuer, puis à l'issue d'une nuit que l'on imagine torride, le fait exécuter. Ah ! Mante religieuse.

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Des salauds ordinaires, Jean Yanne en aura joué de bien beaux. Pour Maurice Pialat bien sûr, Godard aussi. J'aime tout particulièrement sa composition en Paul Decourt dans Que la bête meure (1969) de Claude Chabrol, un spécialiste. Il est l'homme que vous aimerez haïr. Bourgeois parvenu, garagiste vicieux qui tripote sa bonne, macho, égoïste, dur avec les faibles et faible avec les forts, fort en gueule, prétentieux et violent, il est évidemment lâche. Il a fuit après avoir renversé le fils de Charles Thénier (Michel Duchaussoy) qui le traque et finit par le retrouver pour découvrir quel bonhomme atroce il est.

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Dans le film de cape et d'épée à la chinoise, on ne s'embarrasse généralement pas de nuance quand il s'agit des méchants. Le méchant est très méchant, vicieux et redoutable jusqu'à la moelle. Doué en art martial, personne ne lui résiste, sauf le héros. Et encore, c'est pas toujours facile. A ce jeu, Ku Feng aura personnifié une jolie galerie de salopards fourbes pour, entre autres Chang Cheh. Il porte souvent la moustache et la barbe, surtout la moustache longue à trois poils qu'il caresse avec volupté tout en méditant de noirs desseins. Dans San duk bei do (La rage du tigre – 1971), il est Long Zi-Yhi dont l'apparence de vieux sage dissimule une technique perverse: il amène les chevaliers qu'il combat à se trancher le bras, jouant sur une botte secrète et leur sens extrémiste de l'honneur. C'est ainsi qu'il coince Lei Li, ce qui ne lui portera pas bonheur puisque le manchot compensera son handicap par un coup avec trois épées. Encore raté.

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Le méchant est finalement assez rare dans le cinéma de John Ford. Sa profonde humanité le retenait peut être de s'étendre sur des portraits de terribles canailles (sauf si elles sont sublimes). Il nous aura pourtant donné un méchant des plus mémorables avec Liberty Valance dans le film qui se demande qui l'a tué. Valance, c'est Lee Marvin et il incarne sans trop de nuance tout ce que Ford pouvait détester: violence sadique, désir d'humilier, attaques contre les principes démocratiques américains et la liberté de la presse. Valance est l'homme primitif et la face sombre de l'homme de l'ouest qui s'oppose à la figure de Tom Doniphon joué par John Wayne. Deux routes possibles pour des hommes grandis dans un pays encore libre et sauvage. Mais là où Doniphon a construit sa ferme et vit selon des règles plutôt chevaleresques, Valance a laissé s'exprimer ses instincts les plus vils et s'est vendu aux grands propriétaires. Il est le redoutable valet.

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Dans le cinéma de genre à la française, son visage à la Lee Van Cleef, œil sombre et fine moustache, en ont fait l'incontournable sbire. Traître idéal, exécuteur des basses œuvres, homme de main et de tous les coups fourrés, Guy Delorme n'a cessé de mettre des bâtons dans les roues des héros personnifiés par Jean Marais et Gérard Barray, se délectant à enlever leurs douces dulcinées. Immanquablement, à l'issue d'un duel acharné, il finissait par tomber de la muraille ou du toit, embroché en beauté. Difficile d'isoler un rôle plutôt qu'un autre, ce paragraphe est un hommage à sa carrière d'affreux sublime.

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Photographies : Camp academy , Notre cinéma , Allociné (collection Christophe L.), HKcinemagic, LEFT of cyber-center, Tout le ciné.

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13/10/2010

Les 10 salopards - Partie 1

A force de parler de choses horribles, elles finissent par arriver. Il y a quelques temps, Frédérique avait établi une liste de ses dix méchants préférés au cinéma, suivie en cela par Ran et Nolan du blog De son coeur le vampire. Stimulé par l'exercice, j'ai commencé à ruminer tout cela mais le temps, l'amour, les vaches... Je n'avais pourtant pas oublié et, chose promise, chose dure, voici une collection de 10 estimables salopards avec une contrainte supplémentaire, ne pas recouper les listes de mes trois camarades, excluant ainsi les morceaux de choix que constituent Tigrero, la reine de Blanche Neige et HAL 9000.

Honneur aux femmes, aucune ne m'a paru aussi pathétiquement ignoble que Emma Small campée par Mercedes McCambridge dans le Johnny Guitar de Nicholas Ray (1954). Elle irradie dune haine très pure envers Vienna (Joan Crawford) dont elle jalouse tout à la fois l'amour du Dancing Kid, l'indépendance, la séduction, l'assurance et le flair économique. Vieille fille encore jeune mais totale frustrée sexuelle, c'est une femme de pouvoir vêtue de noir (elle porte le deuil de son frère) qui réprime ses passions féminines. Elle fera tout pour abattre sa rivale: mentir, dénoncer, calomnier, promettre la vie sauve au jeune Turkey avant de le faire pendre, exciter les bons citoyens à libérer leurs instincts de lyncheurs, et tuer filialement, ivre de ressentiment, celui qu'elle aime. Glaçante, l'œil d'acier, la lèvre tremblante de rage, elle est plus terrifiante que bien des méchants du western classique, de Jack Palance à Arthur Kennedy en passant par Dan Duryea.

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Dans le registre de la salope froide et calculatrice, personne n'égale à mon sens Ève Harrigton. Anne Baxter a personnifié à la perfection cette jeune femme d'allure modeste, réservée voire timide, dissimulant l'âme du serpent le plus venimeux dont Joseph L. Mankiewicz nous dit tout dans All about Ève (1950). Rêvant de gloire théâtrale, elle s'introduit dans l'entourage de la célèbre Margot Channing (Bette Davis) et manœuvre subtilement pour lui prendre (presque) tout et se hisser au sommet. Ce personnage se situe dans la lignée de femmes redoutables du cinéma américain de l'époque, les Phyllis Dietrichson (Barbara Stanwyck dans Double indemnity (1944) de Billy Wilder), Diane Tremayne (Jean Simmons dans Angel face (1952) d'Otto Preminger) ou Elsa Bannister (Lady from Shangai (1947) d'Orson Welles). Mais le combat femme contre femme et l'écriture subtile de Mankiewicz atténue les accents misogynes attachés aux portraits de ces femmes fatales.

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Le cinéma français a donné quelques figures inoubliables d'ignobles, en particulier ceux écrits par Jacques Prévert pour Marcel Carné, Jean Grémillon et Jean Renoir. J'ai un faible pour le Paul Batala de Jules Berry (qui a un sacré palmarès à son actif) dans Le crime de monsieur Lange (1936) de Renoir. Capitaliste décomplexé, vicieux, pervers, manipulateur et ignoble donc jusqu'à l'exubérance, rien ne manque à ce portrait à charge que Berry rend lyrique dans la caricature. Son meurtre accidentel, assez radical, n'en fait pas moins plaisir à tout le monde.

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De Sentenza à Tigrero en passant par les personnages joués par Jack Palance et le Franck de Henry Fonda, le western all'italianna a donné quelques figures incontournables de méchants tout ce qu'il y a de plus vicieux. La gâchette leste et l'œil sans pitié, ils tuent hommes femmes et enfants comme on prend un verre. Je porterais mon choix, puisque j'ai l'embarras, sur le colonel Gunther Reza de Giù la testa ! (Il était une fois la révolution – 1971), joué par Domingo Antoine (pseudonyme du français Antoine Saint-John), Némésis de Juan et John. Inspiré à Leone par les officiers fascistes de sa jeunesse, Reza a la parole rare et le poteau d'exécution rapide. Le visage anguleux, émacié, d'Antoine marque les esprits, comme se gravent les petits détails terrifiants: sa façon de manipuler les essuie-glaces, de se laver les dents, de gober un œuf. L'horreur militaire.

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Photographies : Kinodrome, DR, Mubi.com, capture DVD MGM.

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04/10/2010

Panoptique

J'aurais pu en parler un peu plus tôt mais les plus curieux de mes lecteurs auront remarqué la nouvelle image de la colonne de gauche. Il est donc temps de saluer l'initiative d'Ed de Nightswimming qui propose avec Panoptique une vue d'ensemble d'avis de blogueurs cinéphiles sur les films à l'affiche. Je n'ai guère de goût pour les petites étoiles, les notes et tout ce qui s'en suit, mais l'idée fédératrice de ce "Conseil des dix" élargi me séduit et je me plie à l'exercice volontiers. Octobre en attendant...

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23/08/2010

De retour

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Phorographie : source Poetreated

09/08/2010

Vacances

Toujours pas fini Argento, à peine commencé Larry Cohen, mais bon, il faut savoir souffler un peu. J'ai quand même terminé Bolognini qui sera mis en ligne sur Kinok d'ici peu et les joies du bain sont programmées jusqu'à septembre. Pour ceux qui sont intéressés par les choses d'antan, j'ai pu mettre en ligne sur Cher Nanni... une série de documents exceptionnels sur le cinéma L'Escurial de Nice grâce à une rencontre virtuelle comme seul Internet le permet.

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15 jours de vacances pour tous ! Caramba !

Je m'absente donc une quinzaine loin de tout modem, reprise de la connexion fin août. D'ici là, entre Wakamatsu, CinéGirl et les velus, le Positif special cape et épée bondissant, les films en famille, le Pilote spécial cinéma et bande dessinée, et tous les bons et beaux blogs de la colonne de gauche, vous ne devriez pas trop vous ennuyer.

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13/04/2010

Clin d'oeil de bienvenue

02/01/2010

Meilleurs voeux en rouge

05/10/2009

Le retour du double programme

Je me suis fait un peu rare depuis une bonne semaine. J'en ai même oublié de vous signaler le Double-bill blog-a-thon II organisé par Gautam de Broken Projector. L'idée, plutôt sympathique, consiste à écrire sur un double programme. Pour accentuer l'idée de cinéma d'exploitation, voici donc la séquelle. Ceci dit, rien ne vous empêche de faire un double programme sur Tarkovski ou Pedro Costa. Cliquez sur l'image pour en savoir plus. De mon côté, je fais le maximum pour participer, ça dure toute la semaine.

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Participants :
Ferdy on films (Looking for Eric de Ken Loach et The castle de Rob Sitch)
Boiling sand (Lucille ball::Nathanael West::My sister Eileen)
Broken projector (The Priscilla proposition)
Maul of America (Sordid projection, lecture d'actualité de deux films de Roman Polanski)

24/09/2009

Beyond the canon (5)

Suite fin et déjà des regrets, des "ah oui, zut, j'ai oublié celui-ci"...

Always (1989) Steven Spielberg

Palombella rossa (1989) Nanni Moretti

Madadayo (1989) Akira Kurosawa

¡Átame! (Attache moi ! - 1990) Pedro Almodovar

Days of Being Wild (Nos années sauvages – 1991) Wong Kar-wai

Leung juk / The lovers (1994) Tsui Hark

A close shave (Rasé de près - 1995) Nick Park

Land and freedom (1995) Ken Loach

Usuals suspects (1995) Brian Singer

Al Massir (Le destin - 1997) Youssef Chahine

Dieu seul me voit (1998) Bruno Podalydès

Father and daughter (Père et fille – 2000) Mickael Dudok de Wit

Guizi lai le (Les démons à ma porte - 2001) Jiang Wen

Sen to Chihiro no Kamikakushi (Le voyage de Chihiro – 2001) Hayao Miyazaki

Va savoir (2001) Jacques Rivette

Oasis (2002) Lee Chang-dong

No pasaran, album souvenir ( 2003) Henri-François Imbert

Moolaade (2004) Ousmane Sembène

Le promeneur du champ de Mars (2005) Robert Guédiguian

Inglourious Basterds (2009) Quentin Tarantino

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Le style Wong Kar-wai (image source : Wongkarwai.net)

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23/09/2009

Beyond the canon (4)

La suite...

San duk bei do (La rage du tigre – 1971) Chang Cheh

L'An 01 (1973) Jacques Doillon, Gébé, Alain Resnais et Jean Rouch

Pat Garret and Billy the Kid (1973) Sam Peckinpah

Lacombe Lucien (1974) Louis Malle

Profondo rosso (Les frissons de l'angoisse – 1975) Dario Argento

The outlaw Josey Wales (Josey Wales, hors la loi - 1976) Clint Eastwood

Kéoma (Kéoma – 1976) Enzo G.Castellari

Buffet froid (1979) Bertrand Blier

Heaven's gate (la porte du paradis – 1980) Michael Cimino

Airplane ! (Y a t'il un pilote dans l'avion – 1980) Jim Abrahams et David Zucker

Gloria (1980) John Cassavetes

Le roi et l'oiseau (1980) Paul Grimault

The thing (1982) John Carpenter

The right stuff (L'étoffe des héros – 1983) Philip Kaufman

Flesh + blood (La chair et le sang – 1984) Paul Verhoeven

Peggy Sue Got married (Peggy Sue s'est mariée – 1986) Francis ford Coppola

Ferris Bueller's day off (La folle journée de Ferris Bueller - 1986) John Hughes

Innerspace (L'aventure intérieure – 1987) Joe Dante

Tonari no Totoro (Mon voisin Totoro – 1988) - Hayao Miyazaki

Hotaru no Haka (Le tombeau des lucioles – 1988) Isao Takahata

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La plus délicate des histoires de voyage dans le temps (Image source : EW.com)

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22/09/2009

Beyond the canon (3)

La suite...

Les demoiselles de Rochefort (1966) Jacques Demy

Nihon shunka-kô (A propos des chansons paillardes au Japon - 1967) Nagisa Oshima

Se sei vivo spara (Tire encore si tu peux – 1967) Giulio Questi

Koroshi no Rakuin (La marque du tueur - 1967 ) Seijun Suzuki

Two for the road (Voyage à deux – 1967) Stanley Donen

Casino Royale (1967) Val Guest, Kenneth Hughes, John Huston, Joseph McGrath et Robert Parrish

The charge of the light brigade (La charge de la brigade légère – 1968) Tony Richardson

A walk with love and death (Promenade avec l'amour et la mort – 1968) John Huston

La fée sanguinaire (1968) Roland Lethem

Il mercenario (Le mercenaire – 1968) Sergio Corbucci

Il grande silenzio (Le grand silence – 1968) Sergio Corbucci

Mon oncle benjamin (1969) Édouard Molinaro

The party (1969) Blake Edwards

La sirène du Mississippi (1969) François Truffaut

Le genou de Claire (1971) Eric Rohmer

Giù la testa (Il était une fois la révolution – 1971) Sergio Leone

The beguiled (Les proies – 1971) Don Siegel

Blindman (Blindman – 1971) Ferdinando Baldi

Lo strano vizio della signora Wardh (L'étrange vice de madame Wardh - 1971) Sergio Martino

Max et les ferrailleurs (1971) Claude Sautet

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Mon couple mythique par excellence, Belmondo et Deneuve chez Truffaut (Image source : Tout le ciné)

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21/09/2009

Beyond the canon (2)

Les 20 suivants :

The band wagon (Tous en scène – 1953) Vincente Minelli

French cancan (1954) Jean Renoir

Silver lode (Quatre étranges cavaliers - 1954) Alan Dwan

Ensayo de un crimen (La vie criminelle d'Archibald De La Cruz - 1955) Luis Bunuel

The man without a star (L'homme qui n'a pas d'étoile – 1955) King Vidor

The trouble with Harry (Mais qui a tué Harry ? - 1955) Alfred Hitchcock

Forbidden planet (planète interdite – 1956) Fred M. Wilcox

Nuit et brouillard (1956) Alain Resnais

Kanal (1957) Andrej Wajda

The vikings (Les vikings – 1958) Richard Fleischer

Les yeux sans visage (1959) Georges Franju

Underworld, USA (Les bas-fonds de New-York - 1960) Samuel Fuller

The errand boy (Le zinzin d'Hollywood - 1961) Jerry Lewis

Una vita difficile (Une vie difficile -1961) Dino Risi

Carnival of souls (1962) Herk Harvey

The Haunting (La maison du diable – 1963) Robert Wise

Un drôle de paroissien (1964) Jean-Pierre Mocky

Plague of the zombies (L'invasion des morts-vivants – 1965) John Gilling

The war lord (Le seigneur de la guerre - 1965) Franklin J. Schaffner

Operazione paura (Opération peur - 1966 ) Mario Bava

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Carnival of souls ou la fête des morts (Image source : Movie morlocks)

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20/09/2009

Beyond the canon

J'ai déjà eu l'occasion de dire tout le bien que je pensais des listes du genre « les 100 meilleurs films du monde ». Il se trouve que j'ai été sollicité cet été par Iain Scott du blog britannique The one-line review pour une approche un peu plus originale : Beyond the canon. Si j'ai tout bien compris, il avait déjà mené une enquête classique qui avait donné évidemment les résultats attendus, avec Citizen Kane au premier rang. Quelque peu frustré, il a eu l'idée de solliciter 100 films mais cette fois en excluant 300 titres qui reviennent dans la plupart des enquêtes du genre. Exit, donc le film de Welles et les oeuvres majeures des cinéastes canoniques (d'où le titre). Ca devrait être intéressant. Quand je lis les palmarès de fin d'année dans les revues, j'ai tendance à me pencher sur les listes individuelles pour voir les titres qui se détachent. Avec Beyond the canon, nous devrions avoir une liste composée essentiellement de ce genre de titres.

Voici donc ma liste, que je vais publier par ordre chronologique tout au long de la semaine histoire d'alléger.  Impossible d'établir une hiérachie là-dedans, ce serait trop me demander. J'ai essayé de ne pas multiplier les oeuvres de mes réalisateurs fétiches et de ne pas systématiquement évacuer les ténors en allant vers des films qui me sont chers et généralement moins cités. Si le coeur vous en dit, vous pouvez envoyer votre liste à Iain à l'adresse : onelinereview@hotmail.co.uk avant le 30 septembre. Je sais que le bon docteur en avait fait une en 2006. Listeurs, en lice.

Beyond the canon partie 1

The unknown (L'inconnu -1927 ) Tod Browning

The sign of the cross (Le signe de la croix – 1932) Cecil B. De Mille

Design For Living (sérénade à trois – 1933) Ernst Lubitsch

Tarzan and his mate (Tarzan et sa compagne – 1934) Cedric Gibbons

Le roman d'un tricheur (1936) Sacha Guitry

Remorques (1940) Jean Grémillon

The mortal storm (1940) Frank Borzage

The long voyage home (Les hommes de la mer – 1940) John Ford

Le silence est d'or (1947) René Clair

The ghost and Mrs Muir (L'aventure de madame Muir - 1947) Joseph L. Mankiewicz

Wake of the Red Witch (Le réveil de la sorcière rouge - 1948) Edward Ludwig

San Mao, Liuglangji (San Mao, le petit vagabond - 1949) Yang Gong et Zhao Ming

Törst (La fontaine d'Arethuse – 1949) Ingmar Bergman

Bakushu (Été précoce – 1951) Yasujiro Ozu

The quiet man (L'homme tranquille – 1951) John Ford

Apache drums (Quand les tambours s'arrêteront – 1951) Hugo Fregonese

Bend of the river (Les affameurs – 1952) Anthony Mann

The big sky (La captive aux yeux clairs – 1952) Howard Hawks

The big heat (Règlement de comptes – 1953) Fritz Lang

Manon des sources (1953) Marcel Pagnol

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02/09/2009

Le blogdayliseur fou frappe à l'aube

Le dernier jour du mois d'août, c'était celui des blogs, le BlogDay. Pour l'occasion, Frédérique m'a fait l'honneur de me blogdayliser en bonne compagnie. Sans lui retourner littéralement la politesse, je sacrifie au rituel en vous proposant, non pas une sélection de mes liens habituels ce qui n'aurait qu'un intérêt limité, mais cinq des derniers blogs que j'ai découvert au hasard de mes voyages virtuels :

Spaghetti (!) Cinema devrait faire plaisir à certains de mes lecteurs. Voici un blog original, pas tant sur la thématique (le cinéma populaire italien) que sur le contenu. Il donne en effet la parole à ceux qui l'ont fait et vécu à travers des extraits d'entretiens (en anglais). On trouvera ainsi des informations de première main de la part de Gianfranco Parolini, Jacques Tourneur, Tonino Delli Colli, Duccio Tessari, Sergio Leone, Sergio Corbucci, Eli Wallach et beaucoup d'autres. Ça donne envie, non ?

Dans un registre proche, European film star postcards, comme son nom l'indique, publie des cartes postales d'acteurs et d'actrices sur la vaste période 1895 – 1970. Il y a de bien belles choses, comme la carte de la toute jeune Claudia Cardinale. Voilà qui devrait alimenter le fétichisme de certains.

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Où notre héros apprend qu'il est blogdaylisé (source Dr Macro)

Hollywood encore et toujours avec Obscure Classics qui explore l'âge d'or du grand cinéma américain avec régularité. L'iconographie est superbe.

Chuck-a-luck est un blog cinéphile animé par Michael Sooriyakumaran. Un ensemble de textes de bon goût puisque le programme d'août comprenait Tarantino, Miyazaki, Cimino et Von Trier. Il y a des liens passionnants, notamment celui sur Ozu.

Pour terminer, Beyond the canon est une proposition bien intéressante de Ian Stott. Il s'agit de sortir de la liste des 100 meilleurs films du monde en proposant une liste de laquelle sont impérativement exclus les 300 films apparaissant dans la plupart des grandes enquêtes du genre. Un défi amusant sur lequel je travaille. Je vous en reparle bientôt.

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24/08/2009

(In)glourious critiques

De retour d'une semaine à la montagne et au frais, loin de tout ordinateur, je n'avais qu'une hâte, savoir ce que mes petits camarades avaient bien pu penser du petit dernier de MrQ. Comme la réception cannoise le laissait prévoir, ça défouraille sec.

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Revue :

Le cinéma n'est pas une arme métaphorique mais réelle.

Independencia

Tout est affaire de croyance et c’est cette croyance qui emporte totalement le spectateur à la vision d’Inglourious basterds.

L'avis du Bon Docteur (et celui de Julien en commentaire)

Mais, cette violence est souvent pénible en ce qu'elle pousse le spectateur à ricaner (ricaner de se voir choqué).

L'avis de de Nightswimming

Il est clair qu’avec le finale d’Inglourious Basterds, Tarantino atteint le noyau dur de son cinéma : l’ivresse à se faire le reclus volontaire du cinéma au risque de se faire dévorer par lui.

L'avis de Joachim sur 365 jours ouvrables

Fidèle à sa réputation, Tarantino nous livre ainsi avec Inglourious basterds moins un film antinazi qu’une œuvre pronaze, assumant totalement la bêtise autant que la perversion de ses personnages.

L'avis de Buster sur Baloonatic

Et puis le mien, à chaud en mai et pour rappel. Pas encore revu, pas certain que j'ai encore grand chose à ajouter. Juste une chose parce que je l'ai retrouvée à plusieurs reprises : « western spaghetti » est une expression péjorative, un sarcasme inventé par les américains qui avaient en travers de la gorge le culot de ces fichus ritals venus piétiner avec bonne humeur leurs plate-bandes. Comme disait Leone : « Ce mot de western spaghetti, c’est un des plus cons que j’aie jamais entendu de ma vie ! ».

 

31/07/2009

Questionnaire estival

La saison est propice à l'exercice, que l'on patiente au bureau dans l'attente du retour des collègues ou que l'on se prélasse à Palavas les flots, ou ailleurs, ou n'importe où. Sur la suggestion du Bon Dr Orlof, je me suis attelé avec mon maigre bagage d'anglais à la traduction de l'un de ces questionnaires concoctés par nos amis cinéphiles américains et relayé il y a peu par Flickhead. Voici donc 38 questions qui ont pour but de raviver les souvenirs, de susciter la curiosité et éventuellement de polytraumatiser les amateurs de Robert Altman.

 

1) Quel est votre second film favori de Stanley Kubrick ?

Eyes Wide Shut (1999).

2) Quelle est l'innovation la plus significative / importante / intéressante dans le cinéma de la dernière décade (pour le meilleur ou pour le pire) ?

La lumière des films de Wong Kar-wai.

3) Bronco Billy (Clint Eastwood) ou Buffalo Bill Cody (Paul Newman)?

Eastwood. Plutôt la machoire carrée que les yeux bleus, Marie-Thé me pardonne.

4) Meilleur film de 1949.

She wore a yellow ribbon (La charge héroïque) de John Ford.

5) Joseph Tura (Jack Benny) ou Oscar Jaffe (John Barrymore)?

« So they call me Concentration Camp Ehrhardt ? »  Benny presque sans hésiter.

6) Le style de mise en scène caméra au poing et cadre tremblé est-il devenu un cliché visuel ?

Certes... c'est surtout devenu un cliché critique dans la mesure ou, en cette matière comme en tant d'autres tout dépend de qui tient la caméra.

7) Quel est le premier film en langue étrangère que vous ayez vu ?

En salle, Stagecoach (La chevauchée fantastique – 1939) de John Ford, le film qui m'a incité à m'inscrire à la cinémathèque de Nice.

8) Charlie Chan (Warner Oland) ou Mr. Moto (Peter Lorre)?

Leurs films sont peu connus par ici, mais Lorre, c'est Lorre.

9) Citez votre film traitant de la seconde guerre mondiale préféré (période 1950-1970).

Kanal (1957) d'Andrzej Wajda.

10) Citez votre animal préféré dans un film.

Pyewacket, le chat de la sorcière incarnée par Kim Novak dans Bell, book and candle (L'adorable voisine – 1958) de Richard Quine. Photographie : the cat files.

Pyewacket.jpg

11) Qui ou quelqu'en soit le fautif, citez un moment irresponsable dans le cinéma.

Qui a eu l'idée de filer une caméra à Michael Haneke ? Pour la palme d'or on le sait.

12) Meilleur film de 1969.

The wild bunch (La horde sauvage) de Sam Peckinpah. Pas si facile, c'est une grande année.

13) Dernier film vu en salles, et en DVD ou Blu-ray.

En salle : Whatever works de Woody Allen. En DVD, au moment ou j'écris, Casanova '70 de Mario Monicelli.

14) Quel est votre second film favori de Robert Altman ?

M*A*S*H* (1970)

15) Quelle est votre source indépendante et favorite pour lire sur le cinéma, imprimé ou en ligne ?

Pour ne créer de tension parmi mes nombreux amis en ligne, je citerais la revue à laquelle je reste fidèle : Positif.

16) Qui gagne ? Angela Mao ou Meiko Kaji ?

Cheng Pei-pei.

17) Mona Lisa Vito (Marisa Tomei) ou Olive Neal (Jennifer Tilly)?

J'adore l'accent avec cheveu sur la langue de Jennifer Tilly.

18) Citez votre film favori incluant une scène ou un décor de fête foraine.

Panique (1946) de Julien Duvivier

Panique.jpg

19) Quel est à aujourd'hui la meilleure utilisation de la video haute-definition sur grand écran ?

L'anglaise et le duc (2001) d'Eric Rohmer.

20) Citez votre film favori qui soit à la fois un film de genre et une déconstruction ou un hommage à ce même genre.

Django (1966) de Sergio Corbucci, comme plusieurs autres de ses films.

21) Meilleur film de 1979.

1941 !

22) Quelle est la plus réaliste / Sincère description de la vie d'une petite ville dans un film ?

Manon des sources version Pagnol en 1953.

23) Citez la meilleure créature dans un film d'horreur (à l'exception de monstres géants).

La chose de John Carpenter.

24) Quel est votre second film favori de Francis Ford Coppola ?

Peggy sue got married (Peggy Sue s'est mariée – 1986)

25) Citez un film qui aurait pu engendrer une franchise dont vous auriez eu envie de voir les épisodes.

Tonari no Totoro (Mon voisin Totoro – 1988) de Hayao Miyazaki. Photographie source Bao-blog.

totoro.jpg

26) Votre sequence favorite d'un film de Brian De Palma.

La scène avec la tronçonneuse dans Scarface (1983), c'est à cause d'elle que j'ai mis quelques années à me décider à aller voir le film.

27) Citez votre moment préféré en Technicolor.

L'orage dans She wore a yellow ribbon (La charge héroïque – 1949) de John Ford

28) Votre film signé Alan Smithee préféré.

Alan Smithee, invention bien américaine, est un pseudonyme utilisé par les réalisateurs qui ne souhaitent pas voir leur nom lié à un film qu'ils désavouent. Il s'agit donc en général de navets et il est délicat d'en citer un de favori. Le seul que j'ai pu voir est Supernova ( 2000) réalisé en fait par Walter Hill et dans lequel Coppola aurait trempé.

29) Crash Davis (Kevin Costner) ou Morris Buttermaker (Walter Matthau)?

J'aime bien les deux acteurs mais je n'ai vu aucun des deux films. Plutôt Tony D'Amato.

30) Quel film post-Crimes et délits de Woody Allen préférez vous ?

Vicky Cristina Barcelona (2008)

31) Meilleur film de 1999.

Eyes Wide Shut (1999)

32) Réplique préférée.

Hey, shérif, you forget your pants !

33) Western de série B préféré.

Apaches drums (Quand les tambours s'arrêteront - 1951) de Hugo Fregonese, ultime production Val Newton.

34) Quel est selon vous l'auteur le mieux servi par l'adaptation de son oeuvre au cinéma?

Encore sous le choc et venant de lire la longue nouvelle d'origine, je dirais Akiyuki Nosaka pour l'adaptation de Hotaru no Haka (Le tombeau des lucioles – 1988) par Isao Takahata.

35) Susan Vance (Katharine Hepburn) ou Irene Bullock (Carole Lombard)?

Choix autrement plus difficile que pour les hommes. Plutôt Susan et son léopard. Photographie : Battleship Pretention.

Susan vance.jpg

36) Quel est votre numéro musical préféré dans un film non musical ?

Purple light in the canyons

That's where I long to be

With my three good companions

Just my rifle, pony and me

37) Bruno (Le personnage si vous n'avez pas vu le film, ou le film si vous l'avez vu) : une satire subversive ou un ou un stéréotype ?

Pas vu et pas tenté.

38) Citez cinq personnes du cinéma, mortes ou vivantes, que vous auriez aimé rencontrer.

Catherine Deneuve, Jeanne Balibar, Steven Spielberg, François Truffaut et bien que ça me terrifie, John Ford.

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16/05/2009

Programme de la semaine

Pour une bonne semaine, je serais sur le festival de Cannes. Je ne sais pas encore trop ce que je vais aller y voir. Hier soir, en allant chercher mon accréditation, la simple vision des files d'attente m'a sapé le peu d'énergie qui me restait d'une semaine difficile. Deux repères, une soirée Pietro Germi demain soir et jeudi Giù la testa ! (Il était une fois la révolution - 1971) de Sergio Léone, ce qui ne se refuse jamais en copie neuve sur grand écran. Voilà. D'ici là, je ne vous abandonne pas, toute la semaine à partir de demain, je ferais le relais avec les chroniques écrites autour de quatre films de Nagisa Ōshima pour Kinok. Et puis la chronique sur le bouquin de Luc Moullet en bonus. Sur le même site, je vous recommande le texte du bon Docteur sur le livre d'entretiens avec Moullet et le texte de Ludovic Maubreuil de Cinématique sur l'épisode Merde de Léos Carax, découvert l'an dernier à Cannes. Bonjour chez vous.

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