30/04/2024
Zoom Arrière n°8 : Les films de Werner Herzog
Pour son huitième numéro, l'équipe de Zoom Arrière vous propose un voyage dans le cinéma de Werner Herzog, figure majeure du jeune cinéma allemand des années 70 et 80, devenu un maître du cinéma contemporain.
La campagne de pré-commandes est ouverte sur Ulule (cliquez sur l'image ci-dessous) pour acquérir ce superbe numéro et ses non moins superbes contreparties. Et n'hésitez pas à transmettre l'information !
Des rivières de l'Amazone aux glaces de la base Antarctique McMurdo, de la grotte Chauvet aux chemins escarpés de Cuzco, des plages de l'ancien Dahomey au désert dévasté du Koweït, de volcans en sommets, des océans aux forêt profondes, Werner Herzog est un cinéaste voyageur inlassable, à l'immense curiosité, moteur d'un œuvre protéiforme et exaltante.
Adolescent, il croise la route de Klaus Kinski et, impressionné, en conçoit l'intuition qu'il réalisera des films et dirigera l'impossible comédien. Ce qu'il fera. Werner Herzog est l'homme des signes qui peuplent le monde et des appels d'un destin imprévisible auxquels il faut savoir répondre. Il aura construit ses films sur d'innombrables rencontres et autant de coups de tête. Religieux, voire mystique, il sait accueillir l'imprévisible, le merveilleux, et la poésie de la vie, tout en conservant une détermination sans faille dans sa vision de cinéaste.
Ses tournages sont autant d'aventures physiques que spirituelles et ses films, plus de quatre-vingt fictions et documentaires, courts et longs métrages, autant de visions artistiques sensibles qui explorent la condition humaine dans toute sa démesure, sa folie, sa grandeur.
L'équipe de Zoom Arrière est heureuse de vous convier à déambuler à travers les multiples facettes de l'impressionnante filmographie de ce grand marcheur pour qui : « ...voyager à pied est une vertu ». On ne saurait rêver meilleur compagnon de route.
Le huitième numéro de Zoom Arrière revisite donc son œuvre : longs et courts métrages, fictions et documentaires, analyses transversales, bibliographie et filmographie, commentés et analysés par nos contributeurs, à travers plus de soixante-dix textes.
Certains de ces textes s’opposent, d’autres convergent. Tous se complètent pour rendre hommage à un créateur unique.
15:37 Publié dans Cinéma, Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : zoom arrière, werner herzog | Facebook | Imprimer | |
03/09/2023
Jarmush sur ARTE
ARTE.tv propose depuis le 1er août jusqu'au au 31 décembre 2023, cinq des films tournés par le cinéaste américain Jim Jarmusch dans la première partie de sa carrière. Musique, errance, rencontres singulières et humour désenchanté. Au programme : Permanent Vacation, son film de fin d'études, Down by Law, Mystery Train, Night on Earth et le western culte Dead Man. En complément, c'est l'occasion de se plonger dans le numéro que l'équipe de Zoom Arrière à concocté autour de la filmographie de l'auteur (à commander sur le site en cliquant sur la couverture ci-dessous, attention, il en reste peu !).
15:08 Publié dans Cinéma, Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jim jarmush, zoom arrière | Facebook | Imprimer | |
17/04/2023
Zoom Arrière n°7 : Les films de Jane Campion
La belle équipe de Zoom Arrière vous propose son septième numéro consacré aux films de Jane Campion, la réalisatrice de La Leçon de piano, première femme à recevoir la Palme d'Or au festival de Cannes en 1993.
Pourtant, cet arbre remarquable cache une forêt riche et sensible. Jane Campion fait des films depuis plus de quarante ans et parmi eux plusieurs encore sont à découvrir ou redécouvrir. C’est le cas de ses nombreux courts métrages et de ses tout premiers longs, Two friends (1986) et Sweetie (1989) remarquables à plus d’un titre. C’est aussi le cas de Portrait de femme (1996), adaptation risquée mais réussie du roman de Henry James et dans lequel Nicole Kidman, à travers sa composition d'une femme empêchée et trahie, ne peut que saisir le spectateur.
De nouveau récompensée du prestigieux prix Lumière en 2021 pour l’ensemble de son œuvre, ainsi que par quelques autres prix pour The Power of the Dog en 2022, Jane Campion est une des cinéastes, si ce n’est la cinéaste, la plus honorée de notre temps.
Le septième numéro de Zoom Arrière revisite donc son œuvre : plusieurs courts, neuf longs métrages et une série commentés et analysés à travers plus de vingt-cinq textes. Certains de ces textes s’opposent, d’autres convergent. Tous se complètent. De façon générale et au milieu d’autres thèmes (une étude de la bande son et de la musique dans Bright Star, une représentation du XIXe siècle d’après ses films...), nous revenons sur le féminisme de la réalisatrice, ses héroïnes, leurs désirs et leur désillusion, leurs luttes surtout.
Une campagne de précommandes est lancée sur ulule, l'occasion de soutenir le projet et de compléter votre collection. vous pouvez également nous aider en faisant circuler l'information. Qu'on se le dise !
16:37 Publié dans Cinéma, Livre | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : zoom arrière | Facebook | Imprimer | |
14/06/2022
Paul Vecchiali à l'honneur de Zoom Arrière numéro 6
La sixième livraison de la revue cinéphile Zoom Arrière est sur le point de sortir ! Notre équipe de fines plumes l'a consacrée au cinéaste Paul Vecchiali, plus de 200 pages de textes critiques avec un long entretien (une première pour nous !) qu'il a bien voulu nous accorder.
Cette fois, nous lançons une campagne de pré-commandes sur le site Ulule : Cliquez ICI
Faites l’acquisition de ce super numéro et complétez votre collection.A vot'bon cœur pour reprendre le titre de l'un de ses films.
De son premier film perdu, Les petits drames en 1961, à son tout nouveau Pas... de Quartier en attente de sortie, le cinéma de Paul Vecchiali se décline sur tout les tons et tous les formats, du court au long, pour le grand écran et pour la télévision, ne reculant devant aucun défi, aucun chemin de traverse, tant qu'il peut préserver son indispensable indépendance. Il aura fait tourner les plus grands, de son idole Danièle Darrieux à Jacques Perrin, de Nicole Courcel à Catherine Deneuve, de Michel Piccoli à Marianne Basler, de Madeleine Robinson à Édith Scob, sans oublier ses fidèles entre les fidèles, Hélène Surgère, Sonia Saviange, Nicolas Silberg et toute une galerie de visages familiers et de corps émouvants qui habitent son univers. Le cinéma est pour Paul Vecchiali une affaire d'admirations, de rencontres et d'amitiés, une exploration de l'intime, lui qui a souvent filmé dans son appartement du Kremlin-Bicêtre à Paris puis dans sa propre maison du Var, la « Villa Mayerling ». C'est aussi une affaire de fidélité et d'exigence à travers ses collaborations avec Noël Simsolo pour l'écriture ou Roland Vincent pour la musique. Ce sont aussi ses aventures de production, indépendante toujours, avec Les films de Gion et Unité 3 pour les premiers films de Jean Eustache ou Chantal Akerman, puis avec Diagonale, créée en 1976, qui produisit Gérard Frot-Coutaz , Marie-Claude Threillou, Jean-Claude Biette ou Jean-Marie Straub et Danièle Huillet, enfin avec Dialectik qui lui aura permis de monter, en marge du système, ses films récents. Au moment où Paul Vecchiali s'apprête à faire paraître ses mémoires (2 tomes chez Libre et Solidaire), l'équipe de Zoom Arrière vous invite à revisiter son œuvre foisonnante.
12:09 Publié dans Cinéma, Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : zoom arrière, paul vecchiali | Facebook | Imprimer | |
10/05/2019
Zoom Arrière spécial Brian De Palma
La chose s'est préparée dans la discrétion alors que nous achevons notre voyage dans le temps, revisitant chaque année de cinéma depuis 1945. L'équipe de Zoom Arrière, sous la houlette d’Édouard Sivière de Nage Nocturne, se lance dans l'édition en rebondissant sur plusieurs projets collectifs. L'idée est de revisiter l’œuvre de nos cinéastes favoris à travers un ensemble de textes issus de nos sites et blogs, avec de nombreux inédits.
Premier ouvrage autour du cinéma de Brian De Palma, 29 longs métrages et quelques autres formats, 55 textes, 138 pages signées par 13 contributeurs autour de ce cinéaste qui a nourri nos discussions, parfois enflammées. Pour ma part, outre l'actualisation d'un texte sur Obsession (1976), je me suis attaché aux films controversés Scarface (1983) et Casulaties Of War (Outrages, 1989), ainsi qu'à la collaboration de De Palma avec Bruce Springsteen pour ce qui reste l'unique clip du réalisateur et un moment fort de la légende du chanteur.
Tout ceci pour la modique somme de 5 € (+ 4 € de frais de port).
Pour le commander : Cliquer ici
Pour mes lecteurs et amis azuréens, ça peut passer par moi en direct.
11:38 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : brian de palma, zoom arrière | Facebook | Imprimer | |
23/07/2016
1990, la belle américaine
L’équipe de Zoom arrière entre dans la dernière décennie du XXème siècle. Et cette belle année 1990 m'apparaît comme très américaine, même si d'ici et d'ailleurs viennent quelques beaux films. Mais quand même, en 1990 sortent en France des films aussi personnels que réussis, à commencer par ceux de Steven Spielberg et de Clint Eastwwod. C'est le temps des fantômes bienveillants et des avions argentés, de l'Afrique et du cinéma, d'une épopée de la guerre de Sécession et d'une contre épopée du Vietnam où Tom Cruise montre qu'il peut jouer. C'est le temps de femmes d'exception, Michelle Pfeiffer se roulant en robe rouge sur le piano de Jeff Brigdges tandis qu'Ellen Barkin coince Al Pacino (enfin sortit du purgatoire) contre le mur "Qu'est-ce que tu cherches ?". C'est le temps de superbes polars sombres signés Sidney Lumet et Mike Figgis où Nick Nolte et Richard Gere dévoilent des registres inattendus et inquiétants, de l’œuvre élégante d'Abel Ferrara habitée par un Christopher Walken aristocratique. Un prince. Le film distingué par l'équipe peut rejoindre sans peine cette catégorie, signé Martin Scorcese qui revient à ce qu'il fait de mieux. C'est le temps de films étranges, l'aventure de Joe contre le Volcan, le retour des bestioles de Joe Dante et les états d'âme de Woody Allen. C'est le temps du grand retour des studios Disney avec une merveilleuse aventure aquatique. il y en aurait quelques autres à ajouter, la science fiction de Paul Verhoeven, les machinations de John Dahl, le cas de conscience de Brian de Palma, mais il faut savoir s'arrêter. Voici donc 1990 en 12 films Made In USA.
Photographies DR (Universal, Disney, UGC).
12:52 Publié dans Blog, Cinéma | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : zoom arrière | Facebook | Imprimer | |
17/05/2016
1988 en treize (autres) films
C'est 1988 sur Zoom arrière avec un peloton de tête éclectique comprenant les œuvres de Jean-Claude Brisseau, Sidney Lumet, John Huston, Krzysztof Kieślowski et quelques autres pointures. Mais 1988, pour moi, ce fut une belle année d'un cinéma plutôt américain et la découverte de différentes facettes du cinéma chinois. Steven Spielberg dominait l'ensemble, suivi de John Carpenter convoquant le diable dans une église désaffectée, Kevin Reynolds et sa bête de guerre, Kathryn Bigelow et ses vampires texans, Wong Kar-wai et l'apparition lumineuse de Maggie Cheung, Jackie Chan dans un numéro ébouriffant, Rob Reiner et son conte de fée hilarant, John McTiernan Yeepee Kay-hey et son vilain de classe, Ching Siu-tung et son baiser surnaturel, Francis Ford Coppola funèbre et magistral comme Huston, Michel Deville et l'érotisme de Miou-Miou, Paul Verhoeven et son policier d'acier, et un inédit que je ne découvrirais que bien plus tard, le beau film d'Alexandre Askoldov.
21:42 Publié dans Blog, Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : zoom arrière, steven spielberg, francis ford coppola, john carpenter, kathryn bigelow, wong kar-wai, jackie chan, ching siu-tung, michel deville, alexandre asklodov, john mctiernan | Facebook | Imprimer | |
04/06/2015
1977 en 12 (autres) films
Bien sûr, 1977 sur Zoom arrière, c’est l'un des tout meilleurs films de Woody Allen, l'ultime Buñuel, Truffaut et les femmes, Resnais et Providence, le Casanova de Fellini et le sublime premier film de Victor Erice. Et puis un bien bel éditorial signé Céline du blog Critique Clandestine. Mais 1977, c'est aussi Marty Feldman en Gary Cooper, une belle et grande saga familiale française, l'ultime chef d’œuvre du western à l'italienne, Une chanson sublime et Clarence Clemmons entre Minelli et De Niro, la dure vie d'enfant de paysans italiens et pauvres, des jeunes filles en fleur dans le désert Australien, un poliziottesco de grand style sur une musique de Stelvio Cipriani, un mystère rouge profond, des héros vieillissants et émouvants du côté de Sherwood et de Carson City, Barbara Bouchet nue et puis, quand même, un film qui fait parler dans toutes les cours de récréation les petits garçons qui se rêvent en héros interstellaires. C'était dans notre galaxie, à notre époque, hier en 1977.
22:36 Publié dans Blog, Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : zoom arrière, marty feldman, enzo g. castellari, rené féret, martin scorcese, paolo et vittorio taviani, peter weir, dario argento, roberto infascelli, don siegel, georges lucas, mauro bolognini, richard lester | Facebook | Imprimer | |
10/06/2014
1966, c'est maintenant !
Sur Zoom arrière, nous sommes en 1966 et Orson Welles domine une jolie collection de beaux films avec sa plus belle rêverie épique et Shakespearienne, Falsatff. derrière lui, le Ford ultime, la Deneuve chez Polanski, Bresson et son âne, le doublé de Sergio Leone, le Has à tiroirs et Kurosawa lui aussi sur les pas du grand Will. mais 1966, c'était aussi une grande année de cinéma populaire mêlant fantastique, western baroque, aventure et mélodrame. Le spectateur ravi croisait le visage de Barbara Steele, le cercueil de Django, le regard brûlant de Christopher Lee, le bikini préhistorique de Raquel Welch, la chevalerie de Charlton Heston, les amours contrariées du Dr Jivago, les zombies de Gilling et la fantaisie de Rappeneau. C'était la vie de château en salles.
05:49 Publié dans Blog, Cinéma | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : zoom arrière | Facebook | Imprimer | |
21/04/2014
1965, c'est maintenant !
Incredible ! 1965 sur Zoom arrière, avec Fierrot le Pou en tête de peloton. Suivi d'une dizaine de films que je n'ai jamais bus, mus, vus... hahaha, si, les trouffions perdus en Indochine par Schoendorfer, L'inspecteur Clouseau so french, et Cardinale chez Visconti. Les deux Fuller quand même, je dois faire un effort. Pasolini aussi. Ho ! plus bas, Barbara Steele chez Margheriti, Bava en trois épisodes, Preminger avec le Duke un rien fatigué. Que du bon. Kim Novak chez Wilder, drôle. Etaix, voilà un français comme je les aime et qui m'aime. De Funès, où est-il ? Lui, le jour où l'on voudra lui remettre un César, je suis partant. Que de films ! Quel tableau ! Quel talent ce Luc Jean Dardgo ! Vivement 1966.
17:43 Publié dans Blog, Cinéma | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : zoom arrière | Facebook | Imprimer | |