20/11/2024
Les 25 èmes Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice
Comme chaque année, je vais être très occupé en cette fin de novembre. Avec l'association Regard Indépendant que j'ai l'honneur de présider, nous organisons les Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice? Ce sera la 25 ème édition cette année, autour du cinéma argentique et plus particulièrement le Super 8.
Visuel : Claude Valenti sur une image du film de Thierry Bonnaud
Toute l'équipe de Regard Indépendant a le plaisir de vous convier pour fêter les 25 ans des Rencontres Cinéma et Vidéo, du jeudi 28 au samedi 30 novembre à Nice, au sein des cinémas Variétés et Jean-Paul Belmondo (ex-Mercury) et de l'Espace Laure Ecard (arrêt tram Saint-Roch). Trois journées de découverte de pépites cinématographiques et de rencontres avec des passionnés du cinéma argentique qui viendront partager leur travail et leur enthousiasme, autour du réalisateur Rémy Batteault, notre artiste invité. L’événement s'inscrit dans L’Automne de l’Image, une initiative portée par La Bande Passante qui fédère sur notre territoire les festivals et événements dédiés au cinéma, la photographie et la vidéo, du 21 septembre au 1er décembre 2024.
Apple Cider Love
Regard Indépendant valorise depuis vingt cinq ans la création cinématographique indépendante, autour de la diffusion de la production émergente régionale. Des centaines d’œuvres de toutes sortes ont ainsi pu faire l'expérience d'une projection publique. Depuis 2004, nous mettons en avant l'utilisation du Super 8 par goût esthétique et pour le plaisir du défi technique permettant de retrouver l'intensité et l'exigence du « vrai » cinéma. Vingt collections, soit près de trois cent films en Super 8 ont ainsi été réalisés par une centaine de réalisatrices et de réalisateurs, et produits par nos soins.
Winter Of My Life
Le jeudi 28 novembre à 20h00, rendez-vous à l'Espace Laure Ecard, pour l'ouverture des Rencontres. Au programme, le Super 8 dans tous ses états avec un film collectif pour les 25 ans, un programme de nos amis anglais des Straight 8, des courts métrages de Rémy et Roger Batteault, de Vincent Le Port, à de nouvelles expérimentations associant musique et cinéma sous forme de ciné-concert.
Rémy Batteault animera au 109 un atelier de pratique du Super 8 avec développement de pellicule argentique le vendredi 29 novembre. La journée se poursuivra au Cinéma Jean-Paul Belmondo par une programmation « La musique en jeu » en partenariat avec le festival OVNi de Nice, puis « Souvenirs d'un futur rêvé » proposée par Marie-France Leccia. Vous y découvrirez des œuvres de Vivian Ostrovsky, Jeff Scherr, Ana Vaz ou Pedro Maia.
Cette année, la journée du samedi se tiendra au cinéma Variétés. Nous proposerons des classiques du Super 8 signés Valérie Donzelli, Valérie Mrejen et Sophie Letourneur, ainsi que Sur la plage de Belfast de Henri-François Imbert et Super 8 mon amour de Rémy Batteault.
La soirée sera, une nouvelle fois, l'occasion de découvrir la collection « 25 » lors du Grand soir du Super 8. Point d'orgue de cette 25e édition, les films, courts métrages réalisés selon le principe du tourné-monté, où le montage s'effectue lors du tournage, seront découverts par le public en même temps que par les réalisateurs et leurs équipes, au comble de l'excitation comme il se doit.
Les 25èmes Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice
Du 28 au 30 novembre 2024
Espace Laure Ecard / Cinéma Variétés / Cinéma Jean-Paul Belmondo / Nice
Tarif unique 5 € - Pass Rencontres 20 € (tarif étudiants, chômeurs, précaires, 10 €)
Contact : regardindependant@gmail.com / Tel : 06 23 07 83 52
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04/11/2024
Hommage à Quincy Jones
21:34 Publié dans Musique, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | Imprimer | |
01/11/2024
Conférence Renoir (Vu pas Vu, 5 novembre à Nice)
Seconde conférence de la saison autour des liens entre peinture, art et cinéma pour l'association culturelle Vu pas Vu avec une évocation de la famille, plutôt de la dynastie Renoir.
Pierre-Auguste Renoir, figure majeure de l’impressionnisme, est aussi le géniteur d'une lignée qui s'est vouée au cinéma avec ses fils Jean et Pierre. Le fameux réalisateur et le grand acteur ont puisé, chacun sa façon, dans l'héritage paternel, des couleurs et des cadres, une éthique et une exigence de leur art. Trait d'union idéal, Catherine Hessling fut à la fois le dernier modèle du peintre et la première muse du cinéaste.
Pierre-Auguste et Jean Renoir, photographie source Musée d'Orsay
Il sera aussi question du benjamin, Claude, céramiste et assistant de jean, de son fils Claude, grand directeur de la photographie, de Sophie, comédienne vue chez Eric Rohmer, comme de Jacques, photographe, directeur de la photographie également, et auteur du livre "Le Tableau amoureux" adapté au cinéma dans le "Renoir" de Gilles Bourdos.
Ce sera jeudi 7 novembre à 18h30, au Palladio, 6 Rue Adolphe de Rothschild, 06000 Nice.
12:15 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean renoir | Facebook | Imprimer | |
31/10/2024
Teri Garr
Je l'avais presque oubliée, mais sa disparition, il y a quelques jours m'a rappelé combien Teri Garr était toujours présente dans mon vaste panthéon. J'ai aussi été heureux de constater que ce souvenir était tout aussi vivace parmi mes amis cinéphiles. Teri Garr, c'était l'une des actrices les plus lumineuse de sa génération, la douceur de son visage, la souplesse de son corps expressif (Ha ! ce tango dans One From The Heart (Coup de Cœur, 1982) de Francis Ford Coppola), sa fantaisie comme ses regard mélancoliques, qui ont pu faire merveille dans le Young Frankenstein (Frankenstein Junior, 1974) de Mel Brooks où elle campait l'ingénue Inga, aussi à l'aise dans le foin que dans cette robe scintillante à couper le souffle ; et dans un autre registre, l'épouse si touchante du personnage de Richard Dreyfuss, dans Close Encounters Of The Third Kind (Rencontres du troisième type, 1977) de Steven Spielberg. Dans le Coppola aussi, elle était le quotidien face au rêve incarné par Nastassja Kinski, et tout aussi émouvante.
Photographie DR
11:55 Publié dans Actrices, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | Imprimer | |
30/09/2024
Florinda
Florida Bolkan sur le tournage du film Anonimo veneziano (1970), d'Enrico Maria Salerno. Photographie DR
19:04 Publié dans Actrices | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : florinda bolkan, tournage | Facebook | Imprimer | |
25/09/2024
La belle équipe
Le réalisateur Clive Donner bien entouré avec la distribution éclatante du film Quoi de neuf Pussycat ? ( What's New Pussycat?, 1966) avec, dans le désordre, Woody Allen, Ursula Andress, Katrin Schaake, Peter O'Toole, Capucine, Romy Schneider, Peter Sellers, Eddra Gale et Paula Prentiss. Photographie © Sunset Boulevard/Corbis
18:44 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | Imprimer | |
23/09/2024
Sergio Sollima, le cinéma au couteau : précommandes sur le site éditeur
Avec le mois d'août, les vacances, la chaleur, un objectif un peu trop ambitieux, tout ça, la campagne de précommandes de mon nouvel ouvrage Sergio Sollima, le cinéma au couteau, n'a pas aboutit malgré un résultat finalement encourageant. Nous ne nous décourageons pas.
La campagne est reprise sur le site de l'éditeur avec les mêmes conditions sur la gratuité des frais de port, jusqu'au 15 octobre, avec le code "early birds sollima". Il y a même un QRcode pour celles et ceux qui savent s'en servir ! Et quoiqu'il arrive la sortie du livre est prévue pour novembre. Qu'on se le dise !
Le site de l'éditeur : https://editionsrififi.com/produit/sollima/
Le QRcode :
18:33 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sergio sollima | Facebook | Imprimer | |
15/09/2024
On s'y remet !
John Wayne en pause sur le tournage de The Undefeated (Les géants de l'Ouest, 1969) d'Andrew McLagen.
Photographie © Life magazine.
17:34 Publié dans Relax | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : john wayne | Facebook | Imprimer | |
16/07/2024
Sergio Sollima, le cinéma au couteau : ouverture des précommandes
Cette fois-ci, c'est (vraiment) parti ! J'ai le plaisir, l'honneur et l'avantage de vous présenter mon nouvel ouvrage consacré au cinéaste Sergio Sollima. Le livre va sortir aux éditions Rififi et les précommandes sont ouvertes sur KissKissBankBank (lien sur l'image ci-dessous).
Après Sergio Corbucci, je me suis replongé dans les grandes heures du cinéma de genre italien, mais avec Sollima, ce serait réducteur. Tel un homme de la Renaissance, Sollima fut artiste et aventurier, voyageur et soldat, intellectuel et populaire, humaniste et maître de son destin. Né un an avant la prise du pouvoir par Mussolini, il s’engage comme partisan pendant la Seconde Guerre Mondiale. Marxiste et catholique, il sera tour à tour critique et écrivain de cinéma, dramaturge pour le théâtre, et enfin scénariste et réalisateur de films. Il fut amateur de westerns avant d’en réaliser lui-même, adepte des arts martiaux, sensible aux mouvements du monde de son temps. Il parlait un français impeccable, tout comme son ami Sergio Leone, et empruntait les routes d'Asie comme d'Amérique, se sentant citoyen du monde.
On lui doit une œuvre de cinéma qui s’étend sur trois décennies de l'histoire du cinéma italien. Comme pour tous les réalisateurs ayant œuvré dans le cinéma populaire à son âge d'or, soit de la fin de la seconde guerre mondiale à la crise de la fin des années soixante-dix, Sergio Sollima a touché à tous les genres en suivant les mouvements impulsés par les succès du moment. Scénariste de mélodrames puis de péplums dans les années cinquante, il débute dans la réalisation par une comédie à sketches, puis aborde successivement le film d'espionnage, le western, le polar, le thriller, œuvrant toujours avec intelligence et exigence.
Pour le western, ce sera Colorado (1966) avec Lee Van Cleef, suivi du Dernier face à face (1967) avec Gian Maria Volonte et Thomas Millian. Pour le thriller, Il offrira à Charles Bronson un des rôles majeurs de sa carrière européenne dans La Cité de la violence (1970). Pour le polar, ce sera Revolver (1973), point d'orgue du poliziottesco marqué par les années de plomb, opposant Oliver Reed à Fabio Testi. Il laisse sur grand écran une filmographie, plutôt modeste, de 13 films mais qui a marqué les esprits comme elle a le plus souvent séduit le public.
Quand les difficultés s'accumulent, il passe sans état d'âme au petit écran et poursuit sa carrière à la télévision publique, refusant de brader son talent comme nombre de ses collègues. Il marquera ainsi l’histoire du feuilleton sur le petit écran avec Sandokan en 1976 puis évoquera ses années de jeunesse avec deux mini séries remarquables : I ragazzi di celluloide en 1981 et 1984. Quelques films encore puis, après l'échec d’une nouvelle suite à Sandokan en 1996, il prend sa retraite des plateaux et se consacre à accompagner la redécouverte de son œuvre par de nouvelles générations. Une œuvre qui a bien traversé les années, que ce soit par l'élégance et l'inventivité de ses mises en scène, l'humanité sensible de ses récits, fables d'aventure mêlant intimement action et réflexion, et l'intelligence avec laquelle Sollima aborde ses thèmes de prédilection: les mécanismes de la violence, le sens de l'engagement et l'aspiration à la liberté.
Sergio Sollima, le cinéma au couteau est un livre de 252 pages broché, au format 17x24.
16:59 Publié dans Evènement, Livre | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : sergio sollima | Facebook | Imprimer | |
27/06/2024
Les Sept Samouraïs au Ciné-club du Pathé Masséna
Les cinéphiles bien nés savent combien est casse-tête la fameuse liste des dix meilleurs films de tous les temps, pour reprendre le titre de l'excellent livre de Luc Chomarat (aux éditions Marest). En ce qui me concerne, Shichinin no samurai (Les Sept Samouraïs, 1954), du maître Akira Kurosawa, en ferait certainement partie. C'est dire ma joie quand on m'a proposé de présenter une séance de la reprise de la version restaurée au Pathé Masséna de Nice, vendredi 5 juillet à 19h30. Cela conclura de belle façon la saison du ciné-club avant la trêve estivale. Cette version, complète, a été présentée en avant-première dans la section Cannes Classic au dernier festival de Cannes. Pour la toute petite histoire, j'avais une place mais, après une grosse journée la veille, je me suis désisté en me disant que le film serait repris à la Cinémathèque. On ne se méfie jamais assez, la séance cannoise a été introduite par non moins que Hirokazu Kore-eda, ce qui devait être quelque chose ! Cela met la barre très haut pour vendredi prochain.
Photographie © Toho LTD
09:59 Publié dans Cinéma, Evènement | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : akira kurosawa | Facebook | Imprimer | |
24/06/2024
Hommage à Donald Sutherland
Ce n'est pas ce qui vient à l'idée en premier, tant le comédien canadien a eu de beaux rôles dans de grands films, mais un ami m'a opportunément rappelé sa participation au clip de Kate Bush, Cloudbusting. Conçu par la chanteuse et Terry Gilliam, il a été réalisé par Julian Doyle en 1985 pour l'album Hounds Of Love. Sutherland joue le rôle de William Reich tandis que Kate Bush joue son fils. J'en ai toujours eu des frissons !
13:08 Publié dans Acteurs | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : donald sutherland | Facebook | Imprimer | |
12/06/2024
"Princesse Mononoké" au Pathé Masséna
15:23 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : hayao miyazaki | Facebook | Imprimer | |
26/05/2024
Dalí et le cinéma
16:07 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : salvador dali | Facebook | Imprimer | |
13/05/2024
Un grand cinéphile
"Mais je pense qu’un film se mérite. Et aujourd’hui, à l’heure où tout ou presque est accessible, c’est souvent trop facile. C’est comme dans une bibliothèque : si vous débarquez sans rien connaître à la littérature, s’il n’y a personne pour vous prendre par la main, vous ne vous en sortirez pas, et vous allez passer à côté des chefs-d’œuvre. Mais comme je le dis souvent : si j’avais 17 ans aujourd’hui, je ne m’intéresserais pas au cinéma, mais au jeu vidéo."
Un bien bel entretien avec un grand cinéphile à qui l'on doit tant : Patrick Brion, « pape » du Cinéma de Minuit. Originellement publié dans le n°6 de Revus & Corrigés. Cliquer sur la photographie (© 2020 Marc Moquin DR)
15:57 Publié dans Panthéon, Web | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook | Imprimer | |
03/05/2024
Sergent Tyree
Ben Johnson dans le rôle du sergent Tyree, inoubliable dans She Whore a Yellow Ribbon (La Charge héroïque, 1949), de John Ford. Cavalier émérite, champion de rodéo, Johnson a débuté comme cascadeur avant que John Ford ne le remarque et ne lui confie de véritables rôles dont celui, mémorable, de l'intrépide sergent Tyree. Photographie publicitaire DR.
15:51 Publié dans Acteurs, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : john ford, ben johnson | Facebook | Imprimer | |
30/04/2024
Zoom Arrière n°8 : Les films de Werner Herzog
Pour son huitième numéro, l'équipe de Zoom Arrière vous propose un voyage dans le cinéma de Werner Herzog, figure majeure du jeune cinéma allemand des années 70 et 80, devenu un maître du cinéma contemporain.
La campagne de pré-commandes est ouverte sur Ulule (cliquez sur l'image ci-dessous) pour acquérir ce superbe numéro et ses non moins superbes contreparties. Et n'hésitez pas à transmettre l'information !
Des rivières de l'Amazone aux glaces de la base Antarctique McMurdo, de la grotte Chauvet aux chemins escarpés de Cuzco, des plages de l'ancien Dahomey au désert dévasté du Koweït, de volcans en sommets, des océans aux forêt profondes, Werner Herzog est un cinéaste voyageur inlassable, à l'immense curiosité, moteur d'un œuvre protéiforme et exaltante.
Adolescent, il croise la route de Klaus Kinski et, impressionné, en conçoit l'intuition qu'il réalisera des films et dirigera l'impossible comédien. Ce qu'il fera. Werner Herzog est l'homme des signes qui peuplent le monde et des appels d'un destin imprévisible auxquels il faut savoir répondre. Il aura construit ses films sur d'innombrables rencontres et autant de coups de tête. Religieux, voire mystique, il sait accueillir l'imprévisible, le merveilleux, et la poésie de la vie, tout en conservant une détermination sans faille dans sa vision de cinéaste.
Ses tournages sont autant d'aventures physiques que spirituelles et ses films, plus de quatre-vingt fictions et documentaires, courts et longs métrages, autant de visions artistiques sensibles qui explorent la condition humaine dans toute sa démesure, sa folie, sa grandeur.
L'équipe de Zoom Arrière est heureuse de vous convier à déambuler à travers les multiples facettes de l'impressionnante filmographie de ce grand marcheur pour qui : « ...voyager à pied est une vertu ». On ne saurait rêver meilleur compagnon de route.
Le huitième numéro de Zoom Arrière revisite donc son œuvre : longs et courts métrages, fictions et documentaires, analyses transversales, bibliographie et filmographie, commentés et analysés par nos contributeurs, à travers plus de soixante-dix textes.
Certains de ces textes s’opposent, d’autres convergent. Tous se complètent pour rendre hommage à un créateur unique.
15:37 Publié dans Cinéma, Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : zoom arrière, werner herzog | Facebook | Imprimer | |
15/04/2024
Truffaut en ligne
15:18 Publié dans Cinéma, Réalisateur, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : françois truffaut | Facebook | Imprimer | |
09/04/2024
"Le Tombeau des lucioles" au Ciné-club du Pathé Masséna
Grand moment à venir, ce vendredi 12 avril, dans le cadre du ciné-club du Pathé Masséna à Nice : projection du chef d’œuvre d'Isao Takahata, Le Tombeau des lucioles. On aurait envie de faire le malin pour ne pas avouer l'émotion que procure ce film qui redonne tout son sens au mot "bouleversant". Mais non. Prévoir quelques mouchoirs.
16:18 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : isao takahata, ciné-club pathé masséna | Facebook | Imprimer | |
01/01/2024
2024 !
Une belle et bonne et bien meilleure année 2024 à toutes et tous !
19:13 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook | Imprimer | |
26/12/2023
2023 en quelques films
C'est le temps du bilan ! Une année plutôt bien fournie avec près de 200 films vus et un peu trop souvent, revus. Belle année avec des films excitants signés de mes réalisateurs de chevet et quelques belles découvertes. Un phénomène qui m'inquiète quelque peu : j'ai vu plusieurs films dont je ne me souviens de rien. Mais alors de rien du tout, sans pour autant que j'ai le souvenir de m'être ennuyé ou d'être tombé sur une bouse (là, curieusement, les souvenirs sont plus précis). C'est peut être l'âge... Reste, plus classique, plusieurs films que j'ai aimé sans être transporté outre-mesure. Et puis dans ma liste des regrets, mais que je compte rapidement combler : Guédiguian et Kaurismaki. Alors, voilà :
The Fabelmans de Steven Spielberg © Universal
Il sol dell'avvenire (Vers un avenir radieux) de Nanni Moretti © Xenix Film
Le procès Goldman de Cédric Kahn © Moonshaker
Whaou ! De Bruno Podalydès © Anne Francoise Brillot
Fifi de Jeanne Aslan et Paul Saintillan © New Story
L'été dernier de Catherine Breillat © Pyramide Films
Kimi-tachi wa dō ikiru ka (Le Garçon et le héron) de Hayao Miyazaki © Le Studio Ghibli
Yamabuki de Yamasaki Juichiro © Survivance
Reality de Tina Satter © Mickey & Mina LLC
Umberto Eco, la biblioteca del mondo de Davide Ferrario © Cinema Guild
Et la série Esterno notte de Marco Bellocchio © Anna Carmelingo
Et aussi dans la catégorie "oui mais", Anatomie d'une chute de Justine Triet, La famille Asada de Ryôta Nakano, Zone of interest de Jonathan Glazer, Inchallah un fils de Amjad Al Rasheed, Rapito (L'Enlèvement) de Marco Bellocchio, Monster de Hirokazu Kore-eda, Adagio de Stefano Sollima, Coup de chance de Woody Allen et Barbie de Greta Gerwig que je trouve douée pour la comédie musicale.
16:00 Publié dans Blog, Cinéma | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : bilan, steven spielberg, nanni moretti, hayao miyazaki, bruno podalydes | Facebook | Imprimer | |