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13/06/2025

Sollima sur Culture Prohibée

A l'invitation de Jérôme Pottier, j'ai discuté de Sergio Sollima (et de mon livre) pour une belle émission de Culture Prohibée. Le résultat est désormais disponible en ligne ICI. L'échange a été intense, d'autant que Jérôme a eu le plaisir de rencontrer le cinéaste de son vivant, en 2001, pour un entretien (publié dans Métaluna-mag n°3) et disponible ICI

Culture Prohibée est "l'émission pas nette du ciboulot", produite et animée par les équipes des Films de la Gorgone et de Radio Graf'Hit. 

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11/06/2025

"Les Dents de la mer" au ciné-club du Pathé Masséna

Alors que s'achèvera la 3e Conférence des Nations unies sur l'Océan (UNOC3), le Ciné-Club du Pathé Masséna poursuit ses séances du vendredi soir avec un cycle "Mers et Océans". C'est dans ce cadre que j'aurais l'immense, immense plaisir, de présenter Les dents de la mer (Jaws, 1975) de Steven Spielberg, qui fête, jolie coïncidence, ses cinquante ans... avec toutes ses dents !
C'est le grand classique du film de requin qui traumatisa toute la planète à sa sortie et fut à l'origine d'un véritable sous-genre du film d'agressions animales. Jaws, adapté d'un best-seller de Peter Benchley est aussi le second et premier très gros succès de son auteur, le prototype du blockbuster qui modifia le visage de l'industrie cinématographique américain. C'est aussi, déjà, un film où la personnalité du réalisateur s'exprime à travers une impressionnante mise en scène. Stimulé par des conditions de tournage difficiles, Spielberg déploya des trésors d'inventions qui font toujours leur effet !
Rendez-vous à partir de 19h30, présentation à 19h40 et film à 20h. 

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Souriez, vous êtes filmés ! (DR)

Jaws, un film de Steven Spielberg avec Roy Scheider, Robert Shaw, Richard Dreyfuss, Lorraine Gary et Murray Hamilton.
À quelques jours du début de la saison estivale, les habitants de la petite station balnéaire d'Amity sont mis en émoi par la découverte sur le littoral du corps atrocement mutilé d'une jeune vacancière. Pour Martin Brody, le chef de la police, il ne fait aucun doute que la jeune fille a été victime d'un requin. Il décide alors d'interdire l'accès aux plages mais se heurte à l'hostilité du maire uniquement intéressé par l'afflux des touristes. Pendant ce temps, le requin continue à semer la terreur le long des côtes et à dévorer les baigneurs…

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L’iconique affiche signée Roger Kastel

20/05/2025

Catherine Deneuve par Philippe Lançon

"J’avais lu beaucoup de ces entretiens où elle ne dit à peu près rien, sinon toujours la même chose. Cela semblait une marque de son naturel : décevoir ceux qui attendent une certaine forme de soumission à l’ordre des interviews. « Jean, étonne-moi ! » disait-on à Cocteau. Catherine n’étonne pas, pas comme ça. Sa vie et ses expressions passent par des portes dérobées. Par les regards, les actes, les gestes, plus que par les phrases."

Je ne sais pas combien de temps l'article restera en ligne, mais pour le moment, vous pouvez lire le très bel entretien-portait que Philippe Lançon consacre à Catherine Deneuve, La Grande Catherine, pour le magazine Vanity Fair. Cliquez sur la photographie (© Hirido, source Vanity Fair). 

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17/05/2025

Zoom Arrière n°9 : les films de Jia Zhangke

A l'honneur de ce neuvième numéro de notre collection Zoom Arrière, le cinéaste chinois Jia Zhangke.
Notre équipe de belles plumes revisite son œuvre : longs et courts métrages, fictions et documentaires, analyses  transversales, bibliographie et filmographie, commentés et analysés par nos onze contributrices et contributeurs, à  travers plus de trente cinq textes.
Certains de ces textes s’opposent, d’autres convergent. Tous se complètent pour rendre hommage à un créateur unique.
Nous lançons la campagne de pré-commandes sur Ulule, ce qui vous permettra également de compléter votre belle collection ! Cliquez sur l"image :

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19:45 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jia zhangke |  Facebook |  Imprimer |

13/05/2025

Lynch (et moi)

David Lynch. Dans les interminables discussions avec mes camarades cinéphiles, il a souvent été un point d'achoppement important sinon majeur. Je ne suis pas vraiment un admirateur inconditionnel du cinéaste et pourtant, j'ai eu beaucoup de peine d'apprendre sa disparition le 15 janvier dernier. En convoquant mes souvenirs, je me suis rendu compte qu'il avait compté dans mon parcours, que j'avais souvent attendu ses films avec impatience, et que son univers, ses mises en scène, m'ont marqué plus que je ne l'aurais cru. Dans nos disputes, le cinéma de Lynch s'opposait souvent à celui de Steven Spielberg. J'ai le sentiment que la participation récente du premier au film très personnel du second, The Falbelmans (2023), ou il incarnait de façon étonnante John Ford, soit Dieu le Père en personne, a sonné comme une sorte de réconciliation. Non qu'elle vaille pour les deux hommes bien entendu, mais bien pour moi et ma vision de deux œuvres plutôt dissemblables, mais qui peuvent se rejoindre autour d'une figure emblématique. Comme le dit le scénariste Tony Kuschner : « Steven Spielberg qui filme David Lynch au cours d'une scène où Steven Spielberg rencontre John Ford, qui est joué par David Lynch. Wow ! ».

david lynch

Lynch en Ford, photographie © Universal

Pour autant que mes carnets soient à jour, le premier film que j'ai vu de David Lynch, c'est son Dune en 1984. A l'époque, je lisais Starfix et Mad Movies, j'avais donc déjà entendu parler d'Eraserhead et de Elephant Man. Mais je vous parle d'un temps sans Internet et il fallait, pour voir un film, attendre sa ressortie en salles ou une hypothétique diffusion à la télévision. J'ai attendu Dune avec beaucoup d'espoir. L'ampleur du projet, les premières images, plus tard la bande annonce, j’en espérais une œuvre à la hauteur du 2001 (1968), de Stanley Kubrick, qui restait et reste ma référence. Dune a été proposé en avant-première à Nice, en 1984, dans le tout nouveau palais des congrès, Acropolis, qui vient d'être démoli mais c'est une autre histoire. J'avais eu une invitation via la Cinémathèque qui venait de s'installer dans une salle flambant neuve et c'était la première fois que j'allais à une avant-première. Je vous laisse imaginer le niveau d'excitation. Lynch était présent à cette soirée mais j'avoue que je ne m'en souviens pas. 

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Dune, Kyle débarque dans l'univers de David, photographie © Universal Pictures

Ce dont je me souviens c'est de l'ampleur de la déception et des regards atterrés qui s'échangeaient à la sortie. Dune, c'est ce genre de film que l'on voit de désagréger sous nos yeux au fur et à mesure de la projection, jusqu'à ce que l'on se demande comment les concepteurs ont pu se louper à ce point. La seule chose que j'avais sauvée du naufrage, c'était la musique du groupe Toto dont j'avais acheté le disque. Sur le fond de l'affaire, je me souviens d'une critique qui disait que le problème de Dune était d'arriver trop tard et que de nombreuses scènes avaient été portées à l'écran dans d'autres films, dans ces désormais classiques de la science-fiction du début des années 80. A l'époque j’ignorais tout de la tentative inaboutie d'Alejandro Jodorowski d'adapter Dune dix ans avant. Tout le travail préparatoire impliquant des artistes majeurs comme Dan O'Bannon, Moebius, Giger ou Foss avait circulé dans les grands studios et inspiré, d'une manière ou d'une autre, d'autres productions. D'où cette impression de déjà-vu sur le film de Lynch que j'avais en effet ressentie. J'ignorais aussi tous les problèmes que le cinéaste avait rencontré avec son producteur, Dino De Laurentiis, qui avait déjà massacré King Kong en 1976, et qui avait exigé une version d'environ deux heures, sur le modèle des Star Wars de Lucas. Bref. A l'occasion de la sortie de la version de Denis Villeneuve, j'ai parlé à ma compagne de la version Lynch et je lui ai fait découvrir, l'occasion pour moi d'y revenir. La première heure, je me suis sincèrement demandé ce qui m'avait tant déplu à l'époque. Et puis la seconde heure m'a apporté la réponse. J'ai retrouvé cette impression de débobinage du récit, de trous de plus en plus importants dans la narration, impression plus précise maintenant que je connaissais les détails de l'histoire grâce aux films de Villeneuve. La fin, avec Sting, son slip bleu et son allure si kitsch, achève de faire basculer le film dans le ridicule. Ceci dit, j'ai appris pour l’occasion qu'il existe un montage d'environs trois heures plus conforme à la vision de Lynch et qui comble peut être les fameux trous. 

david lynch

David Lynch à Acropolis (photographie DR source Cinémathèque de Nice)

Je n'en ai pas voulu à Lynch et c'est avec la même impatience que j'ai attendu puis découvert Blue Velvet en 1987. Je me souviens encore de la grande salle du Gaumont, sur l'avenue Jean Médecin, et de la séance avec mes amis. Et je me souviens de la sortie avec un sentiment mitigé, le même sentiment que j'aurais le plus souvent après les films de Lynch. Je me souviens à la fois des choses qui m'avaient plu, la musique, l'ambiance, les couleurs, les comédiens, l'utilisation de la musique, mais aussi de scènes limites, notamment avec le jeu mélodramatique de Laura Dern, pleurnichant sur une histoire d'abeilles (est-ce que c'est bien dans ce film ?), et de Dennis Hopper complètement allumé. Je n'ai jamais revu le film mais, maintenant que je découvre Twin Peaks, je me dis que ça serait bien d'y revenir. Sailor et Lula (Wild at Heart, 1990), c'est autre chose. Là aussi je me souviens de l'attente ; de la découverte du film auréolé de sa palme d'or, au cinéma Rialto, à Nice toujours, avec un groupe d'amis cinéphiles, le cercle du lundi. Je me souviens de notre plaisir à la sortie et de nos discussions gourmandes sur certaines scènes. En y repensant, ce qui m'avait laissé dubitatif sur Blue Velvet fonctionnait sans réserves sur celui-ci : le jeu mélo (très premier degré) de Laura Dern, les embardées de Willem Dafoe en Bobby Peru (ha ! La scène de séduction !), les détours dans l'étrange, le surréalisme (la fin ! La fin !). Je me souviens de transitions hystériques que j'avais aimées, du bras de Nicolas Cage sur les seins de Dern, de Dern piétinant furieusement le matelas, des choses comme ça, très rock and roll, sexy, excitantes.

Ce qui amène à Twin Peaks, mais à l'époque je n'avais plus de télévision et je suis passé à côté. Je me souviens avoir eu envie de voir le film Fire Walks With Me, mais ça ne s'était pas fait. Je suis revenu à Lynch avec ce qui reste mon film préféré de lui : Lost Highway (1997). Je me souviens d'une séance hivernale au cinéma Mercury, modeste salle art et essai, et de la superbe forme en boucle du film. Je me souviens de la fameuse réplique « Dick Laurent is dead » et de m'être beaucoup amusé à la scène où le truand coince un chauffard qui lui a fait une queue de poisson. On sentait le vécu. Je me souviens aussi de l'homme mystère et de la beauté de Patricia Arquette, des scènes de route et des phares dans la nuit. Avec un de mes ami, fou du film également, nous revenions souvent sur nos scènes préférées, récitant tel ou tel dialogue.

J'ai découvert Une Histoire vraie (Straight Story, 1999) au festival de Cannes. C'était une bien belle édition, avec Kitano, Carax, Greenaway, Bellocchio, Jarmush, Sayles..., mieux vaut ne pas chercher à comparer avec aujourd'hui, je pense avoir un peu perdu le feu sacré. Le Lynch, donc, était annoncé comme « fordien », ce qui ne m'avait pas paru évident mais prend aujourd'hui une autre résonance avec son rôle chez Spielberg. N'ayant jamais revu le film, il en me reste guère qu'un souvenir global, celui d'un rythme calme et de grands espaces, d'une beauté apaisée mais un peu distante et puis du visage de Harry Dean Stanton ouvrant la porte à son frère.

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Autant dire l'ampleur de la déception quand, deux ans plus tard, à Cannes de nouveau, j'ai découvert Mulholland Drive dans la salle Lumière. J'étais pourtant parti plein d'un grand espoir mais assez vite je me suis perdu dans son intrigue alambiquée et, un peu à la façon de Dune, j'ai complètement lâché le film de cours de route. Je crois que c'est la scène où le metteur en scène, après s'être fait virer, découvre sa femme au lit avec un type, qui a enrayé le mécanisme de mystère installé par le début du film. Je l'ai trouvée prévisible et décevante. Tout ce qui m'avait semblé réussi dans Lost Highway sentait cette fois le fabriqué ou le recyclé. Je suis sorti de la séance un peu en colère, avec la désagréable impression de m'être fait balader. Je me souviens avoir tendu l'oreille aux conversations autour de moi et avoir perçu la même déception. Et pourtant, très vite, la rumeur a été élogieuse et le film est pour beaucoup le chef d’œuvre de Lynch. Comme j'avais peur de ne pas avoir tout compris, j'ai revu le film quelques temps plus tard, quand il est sorti en salles en novembre. Mais malgré les clefs que Lynch avait données dans un article de Libération, j'en suis resté sur ma première impression et n'ai pas tenté l'expérience de son dernier opus.

Pour être complet, j'ai aussi vu certains de ses courts dont The Grandmother (1970), au festival de Vendôme, et The Alphabet (1969) tout récemment, qui sont aussi gratinés l'un que l'autre mais dans un autre registre. Ce qui est toujours passionnant dans ces films des tout débuts, c'est de découvrir des motifs, des images, un travail sur le son, que l'on va retrouver dans les longs métrages à venir.

Enfin, après l'expérience Spielberg où je l'ai trouvé excellent, j'ai enfin découvert l’univers de Twin Peaks, d'abord avec le film de 1992, diffusé en ligne à son décès. J'ai réussi à me laisser aller, y compris pour certaines scènes des plus étranges où son style est plus éclatant que jamais. J'ai logiquement enchaîné avec la série dont je viens de terminer les deux premières saisons. Et là, j'ai accroché. Les épisodes qu'il a réalisés portent sa marque de manière intense et, s'il y a bien quelques longueurs dans la seconde saison, l'ensemble est remarquable et je comprends combien Twin Peaks a pu marquer les esprits à son époque. Et puis la distribution est incroyable. Clin d’œil qui ramène à John Ford, le vieux serveur est joué par Hank Worden de la Ford Stock Company. Je me laisserai peut être tenter par finir l'ensemble de son œuvre et peut être même, qui sait, de repasser à l'occasion sur Mulholland Drive.

09/05/2025

"Sergio Sollima, le cinéma au couteau", le livre !

Après bien des péripéties, j'ai le très grand plaisir de vous annoncer la sortie de mon nouveau livre Sergio Sollima, le cinéma au couteau, aux éditions Rififi. Il est désormais disponible chez l'éditeur (cliquez sur l'image ci-dessous), dans les librairies Metaluna (Paris), Ombres Blanches (Toulouse) et Mollat (Bordeaux), mais vous pouvez le commander via votre libraire favori.

Pour les cinéphiles et amis niçois, je serai à la Cinémathèque de Nice le samedi 7 juin pour une séance de dédicaces et une présentation du film Saludos Hombre (Corri uomo corri, 1968) en version restaurée.

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En guise de présentation, voici la quatrième de couverture :

Cinéaste de l'âge d'or du cinéma de genre italien, Sergio Sollima est une personnalité fascinante, tour à tour étudiant aux côtés de Michelangelo Antonioni, partisan durant la Seconde Guerre Mondiale, critique, scénariste, homme de théâtre et de télévision. Si sa filmographie est relativement modeste, Sergio Sollima a su marquer son époque par la création de personnages mythiques, tels que l'agent 3S3, Cuchillo et Sandokan (adapté de Salgari), et par la réalisation de films phares dans les genres qu'il a explorés : Colorado, Le Dernier Face à face, ou encore Revolver. Du western au polar, du cinéma d'aventure à l'espionnage, Sergio Sollima a également insufflé à ses films son engagement politique et humaniste, né des années sombres du fascisme. Malgré son apport conséquent au cinéma italien, ce réalisateur n’avait jusqu'ici jamais fait l'objet d'un ouvrage de référence.

Avec Sergio Sollima, je vous propose de traverser six décennies de cinéma italien à travers la vie et de l’œuvre de ce cinéaste d'anthologie.

19/04/2025

Réveil !


17/04/2025

Ciné-club du Pathé Masséna (Nice) : The Host

Vendredi 18 avril, à partir de 19h30, j'aurais le plaisir de présenter le film de Bong Jong-ho, The Host (2006), dans le cadre du Ciné-club du Pathé Masséna de Nice. Ce film coréen renouvelle le genre du film de monstre marin (même s'il apparait dans une rivière !) tout en respectant les grands archétypes du genre. Avec l'acteur fétiche de Bong, le toujours excellent Song Kang-ho.

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15/04/2025

Relax (10)

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Le calme avant la tempête... Robert Ryan entre deux prises de La Horde sauvage (The Wild Bunch, 1969) de Sam Peckinpah. Photographie DR.

 

31/03/2025

La Belle et la Bête

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Catherine Deneuve et le chien Melampo sur une plage Corse, en marge du tournage de Liza (La cagna, 1972, de Marco Ferreri

Photographie Domaine Public. Anonyme. Collection Fratelli Alinari, Italie, source Wikipedia.

29/03/2025

"Le plus grand film amateur du monde"

François Truffaut parle de Citizen Kane (1941) d'Orson Welles dans l'émission Champ contrechamp de 1981. Document INA (cliquer sur la photographie)

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Photographie NOA, en marge du  Festival de Cannes 1966

01/01/2025

Belle année !

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27/12/2024

2024, un bilan

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Les Graines du figuier sauvage de Mohammad Rasoulof © Pyramide Distribution

Screenshot 2024-12-27 at 10-25-34 baef103f7ec1d10e80ba7d04b1f2e1a3.jpg (Image JPEG 1600 × 901 pixels) - Redimensionnée (64%).png

Miséricorde d'Alain Guiraudie  © Xavier Lambours - Les Films du Losange

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La petite vadrouille de Bruno Podalydès © afbrillot

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Il tempo che ci vuole (Prima la vita) de Francesca Comencini © Pyramide Distribution

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En attendant la nuit de Céline Rouzet © Tandem Films

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L'histoire de Souleymane de Boris Lojkine © Pyramide Distribution

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Spectateurs d'Arnaud Dépleschin © Films du Losange

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Romeo é Giulietta de de Giovanni Veronesi DR

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Late Night with the Devil de Colin et Cameron Cairnes © Omelete

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Ce n'est qu'un au revoir de Guillaume Brac © Bathysphere productions

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(bonus en ligne) François Truffaut : Le Scénario de ma vie de David Teboul © 10.7 Productions

Vu ou revus en salle

Napoléon (1927), première partie, d'Abel Gance

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Les Sept Samouraïs (Shichinin no samurai, 1954) d'Akira Kurosawa © Toho Co, .Ltd

La dolce vita (1960) de Federico Fellini

L’Île au trésor (2018) de Guillaume Brac

Sur la plage de Belfast (1996) de Henri-François Imbert

Porco Rosso (1995) de Hayao Miyazaki

The Shop Around The Corner (1940) de Ernst Lubitsch

20/12/2024

Merci pour tout, monsieur Brion !

Les meilleures choses ont une fin. Patrick Brion présentera pour la dernière fois, le 20 décembre, le mythique Cinéma de Minuit. Il clôture près de cinquante ans de passion et de partage avec la trilogie de Marcel Pagnol, beau choix qui synthétise bien son engagement de passeur et de conservateur. Avec Claude-Jean Philippe et la Cinémathèque de Nice, il aura été l'un des piliers de ma cinéphilie. Son superbe ouvrage sur Tex Avery a été l'une des premières pièces de choix de ma bibliothèque. D'autres ont suivis, ceux sur le western, Vincente Minelli, John Ford, Clint Eastwood, Richard Brooks, Joseph L. Mankievicz...

Je ne crois pas que l'on prenne sa retraite d'une passion aussi entière. Je vous souhaite donc, simplement, cher Patrick Brion, de belles années encore en compagnie des films que vous nous avez appris à aimer. Merci.

20/11/2024

Les 25 èmes Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice

Comme chaque année, je vais être très occupé en cette fin de novembre. Avec l'association Regard Indépendant que j'ai l'honneur de présider, nous organisons les Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice? Ce sera la 25 ème édition cette année, autour du cinéma argentique et plus particulièrement le Super 8.

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Visuel : Claude Valenti sur une image du film de Thierry Bonnaud

Toute l'équipe de Regard Indépendant a le plaisir de vous convier pour fêter les 25 ans des Rencontres Cinéma et Vidéo, du jeudi 28 au samedi 30 novembre à Nice, au sein des cinémas Variétés et Jean-Paul Belmondo (ex-Mercury) et de l'Espace Laure Ecard (arrêt tram Saint-Roch). Trois journées de découverte de pépites cinématographiques et de rencontres avec des passionnés du cinéma argentique qui viendront partager leur travail et leur enthousiasme, autour du réalisateur Rémy Batteault, notre artiste invité. L’événement s'inscrit dans L’Automne de l’Image, une initiative portée par La Bande Passante qui fédère sur notre territoire les festivals et événements dédiés au cinéma, la photographie et la vidéo, du 21 septembre au 1er décembre 2024.

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Apple Cider Love

Regard Indépendant valorise depuis vingt cinq ans la création cinématographique indépendante, autour de la diffusion de la production émergente régionale. Des centaines d’œuvres de toutes sortes ont ainsi pu faire l'expérience d'une projection publique. Depuis 2004, nous mettons en avant l'utilisation du Super 8 par goût esthétique et pour le plaisir du défi technique permettant de retrouver l'intensité et l'exigence du « vrai » cinéma. Vingt collections, soit près de trois cent films en Super 8 ont ainsi été réalisés par une centaine de réalisatrices et de réalisateurs, et produits par nos soins.

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Winter Of My Life

Le jeudi 28 novembre à 20h00, rendez-vous à l'Espace Laure Ecard, pour l'ouverture des Rencontres. Au programme, le Super 8 dans tous ses états avec un film collectif pour les 25 ans, un programme de nos amis anglais des Straight 8, des courts métrages de Rémy et Roger Batteault, de Vincent Le Port, à de nouvelles expérimentations associant musique et cinéma sous forme de ciné-concert.

Rémy Batteault animera au 109 un atelier de pratique du Super 8 avec développement de pellicule argentique le vendredi 29 novembre. La journée se poursuivra au Cinéma Jean-Paul Belmondo par une programmation « La musique en jeu » en partenariat avec le festival OVNi de Nice, puis « Souvenirs d'un futur rêvé » proposée par Marie-France Leccia. Vous y découvrirez des œuvres de Vivian Ostrovsky, Jeff Scherr, Ana Vaz ou Pedro Maia.

Cette année, la journée du samedi se tiendra au cinéma Variétés. Nous proposerons des classiques du Super 8 signés Valérie Donzelli, Valérie Mrejen et Sophie Letourneur, ainsi que Sur la plage de Belfast de Henri-François Imbert et Super 8 mon amour de Rémy Batteault. 

La soirée sera, une nouvelle fois, l'occasion de découvrir la collection « 25 » lors du Grand soir du Super 8. Point d'orgue de cette 25e édition, les films, courts métrages réalisés selon le principe du tourné-monté, où le montage s'effectue lors du tournage, seront découverts par le public en même temps que par les réalisateurs et leurs équipes, au comble de l'excitation comme il se doit.

Les 25èmes Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice

Du 28 au 30 novembre 2024

Espace Laure Ecard / Cinéma Variétés / Cinéma Jean-Paul Belmondo / Nice

Tarif unique 5 € - Pass Rencontres 20 € (tarif étudiants, chômeurs, précaires, 10 €)

Contact : regardindependant@gmail.com / Tel : 06 23 07 83 52

04/11/2024

Hommage à Quincy Jones


01/11/2024

Conférence Renoir (Vu pas Vu, 5 novembre à Nice)

Seconde conférence de la saison autour des liens entre peinture, art et cinéma pour l'association culturelle Vu pas Vu avec une évocation de la famille, plutôt de la dynastie Renoir.

Pierre-Auguste Renoir, figure majeure de l’impressionnisme, est aussi le géniteur d'une lignée qui s'est vouée au cinéma avec ses fils Jean et Pierre. Le fameux réalisateur et le grand acteur ont puisé, chacun sa façon, dans l'héritage paternel, des couleurs et des cadres, une éthique et une exigence de leur art. Trait d'union idéal, Catherine Hessling fut à la fois le dernier modèle du peintre et la première muse du cinéaste.

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Pierre-Auguste et Jean Renoir, photographie source Musée d'Orsay


Il sera aussi question du benjamin, Claude, céramiste et assistant de jean, de son fils Claude, grand directeur de la photographie, de Sophie, comédienne vue chez Eric Rohmer, comme de Jacques, photographe, directeur de la photographie également, et auteur du livre "Le Tableau amoureux" adapté au cinéma dans le "Renoir" de Gilles Bourdos.

Ce sera jeudi 7 novembre à 18h30, au Palladio, 6 Rue Adolphe de Rothschild, 06000 Nice.

31/10/2024

Teri Garr

Je l'avais presque oubliée, mais sa disparition, il y a quelques jours m'a rappelé combien Teri Garr était toujours présente dans mon vaste panthéon. J'ai aussi été heureux de constater que ce souvenir était tout aussi vivace parmi mes amis cinéphiles. Teri Garr, c'était l'une des actrices les plus lumineuse de sa génération, la douceur de son visage, la souplesse de son corps expressif (Ha ! ce tango dans One From The Heart (Coup de Cœur, 1982) de Francis Ford Coppola), sa fantaisie comme ses regard mélancoliques, qui ont pu faire merveille dans le Young Frankenstein (Frankenstein Junior, 1974) de Mel Brooks où elle campait l'ingénue Inga, aussi à l'aise dans le foin que dans cette robe scintillante à couper le souffle ; et dans un autre registre, l'épouse si touchante du personnage de Richard Dreyfuss, dans Close Encounters Of The Third Kind (Rencontres du troisième type, 1977) de Steven Spielberg. Dans le Coppola aussi, elle était le quotidien face au rêve incarné par Nastassja Kinski, et tout aussi émouvante.

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Photographie DR

 

30/09/2024

Florinda

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Florida Bolkan sur le tournage du film Anonimo veneziano (1970), d'Enrico Maria Salerno. Photographie DR

25/09/2024

La belle équipe

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Le réalisateur Clive Donner bien entouré avec la distribution éclatante du film Quoi de neuf Pussycat ? ( What's New Pussycat?, 1966) avec, dans le désordre, Woody Allen, Ursula Andress, Katrin Schaake, Peter O'Toole, Capucine, Romy Schneider, Peter Sellers, Eddra Gale et Paula Prentiss. Photographie © Sunset Boulevard/Corbis