27/03/2019
Stanley et Audrey
Stanley Donen et Audrey Hepburn sur le tournage de Funny Face (Drôle de frimousse, 1957) à Montmartre devant le Sacré Cœur. © Gérard Decaux / Paramount.
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27/09/2017
Les joies du bain : pensive
Deborah Kerr semble bien lointaine sous le regard absent, mais toujours classe, de Cary Grant dans The grass is greener (Ailleurs l'herbe est plus verte), comédie de Stanley Donen datant de 1960. Malgré les apprences, ce sont deux lords anglais. Photographie Dr Macro DR.
20:25 Publié dans Les joies du bain | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : stanley donen | Facebook | Imprimer | |
13/04/2013
1953 en 10 films
Belle année que l'année 1953 sur Zoom Arrière qui voit l'unanimité se faire autour du film de Stanley Donen. Voici, histoire de mettre quelques images sur la longue liste du tableau, dix films qui m'ont marqué, qui ne me quittent pas, dix images qui ont illuminé les écrans il y a soixante ans. Photographies DR.
De haut en bas (sans ordre de préférence d'ailleurs) : Across the wide Missouri (Au-delà du Missouri)de William Wellman, Manon des sources de Marcel Pagnol (poil au col), Le carosse d'or de Jean Renoir, Singing in the rain, inévitablement (Chantons sous la pluie) de Stanley Donen et Gene Kelly, The big sky (La captive aux yeux clairs) de Howard Hawks, beau à en pleurer, The big heat (Réglement de comptes) de Fritz Lang, vous reprendrez bien un café ? The Bad and the Beautiful (Les ensorcelés) de Vincente Minelli, The sun shines bright (Le soleil brille pour tout le monde) un des plus beaux films de John Ford, et Westward the women (Convoi de femmes) toujours de Wellman qui boucle cet exceptionel panorama.
00:10 Publié dans Blog, Cinéma | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : john ford, howard hawks, jean renoir, marcel pagnol, vincente minnelli, stanley donen, gene kelly, fritz lang | Facebook | Imprimer | |
15/05/2007
Audace
Ce n'est que pour Stanley que j'aurais sauté dans le grand bain sans savoir nager.
Ce n'est que pour Stanley que je me serais installée au volant d'une voiture de sport sans savoir conduire.
Ce n'est que pour Stanley que j'aurais eu le culot de danser avec Fred Astaire.
Très joli texte d'Audrey Hepburn parlant de Stanley Donen paru dans le dernier numéro de Positif.
Photographie : Harvard Film Archive
07:55 Publié dans Actrices | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Audrey Hepburn, Stanley Donen, citation | Facebook | Imprimer | |
26/08/2006
Quatre minutes et vingt-trois secondes de bonheur
La révélation et la transfiguration d'Audrey Hepburn sur "How long have this been going on ?" dans Funny face de Stanley Donen. Quelque chose comme l'essence de l'esprit de la comédie musicale.
I could cry such chin tears
Where have I been all these years
A little while come on and tell me now
How long has this been going on?
07:35 Publié dans Panthéon | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : stanley donen, audrey hepburn, comédie musicale | Facebook | Imprimer | |
21/06/2005
La leçon de Stanley Donen
Cette obsession du rythme, cette densité de la création, ce cinéma qui est mouvement et vitesse, ce cinéma qui est l’humour et la grâce, léger comme les pas de Fred Astaire, c’est bien le sien. C’est tout ce grand cinéma hollywoodien à son meilleur, celui qui nous manque cruellement aujourd’hui. Le reste n’est qu’anecdote. Si Donen nous a parlé de ses trucs, de son métier de chorégraphe, de ses idées techniques de mise en scène, il n’a rien dit, vraiment, sur son art de cinéaste. Sauf quand il eu cette peur d’ennuyer son audience et puis, un peu pus loin quand il a dit que, si une idée pouvait passer par le cinéma, par son langage propre, c’était mieux.
Donen fait partie, et il est l’un des derniers à Hollywood, de ces cinéastes qui pensaient cinéma et qui se sont, très généralement, refusé à théoriser leur travail. Je pense à Ford, Hawks, Walsh, Minelli, Lubitch, Capra... Ils avaient des tempéraments visuels avant tout. L’image, le rythme, le mouvement, formaient l’essence de leur cinéma.
En revoyant ses comédies musicales, des plus célèbres aux plus modestes, on ressent encore cette incroyable optimisme. La mélancolie viendra après, à l’époque des comédies sophistiquées qu’il réalisera quand les studios ne feront plus de comédies musicales. Pour l’heure, comment ne pas être positif quand, à 26 ans, on réalise son premier film avec son idole (Astaire). François Truffaut disait que la scène phare de Chantons sous la pluie était la séquence la plus euphorique de l’histoire du cinéma. Comment ne pas se sentir porté sur les ailes de la danse quand on a pu faire défiler devant sa caméra Astaire, Kelly, Cyd Charisse, Audrey Hepburn, Debbie Reynolds ou Cary Grant ?
06:10 Publié dans Festival | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Cinéma, Stanley Donen, comédie musicale | Facebook | Imprimer | |