19/06/2014
Bande annonce
Magnifique bande annonce composée d'extraits de tournage du premier volet Per un pugno di dollari (Pour une poignée de dollars - 1964) pour la ressortie des trois westerns du maestro Sergio Leone avec Clint Eastwood. Un document pour l"histoire. A noter le titre de tournage : Il magnifico straniero.
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18/06/2014
Le trio infenal
De retour en version restaurée par la Cinémathèque de Bologne
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08/06/2014
Borzage, encore un peu...
17:14 Publié dans Cinéma, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : frank borzage | Facebook | Imprimer | |
17/05/2014
H+R G. R.I.P.
Photographie Keystone
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14/05/2014
Mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir leur raconter ?
L'angoisse du metteur en scène avant le plan
Sergio Leone et son équipe en pleine attente sur le tournage de Per un pugno di dollari (Pour une poignée de dollars - 1964). Clint Eastwood n'était pas réveillé ? DR
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17/03/2014
(an) Phoebe
La belle Phoebe Cates et son bikini rouge dans Fast times at Ridgemont Hight (1982) de Amy Heckerling
Photographie DR source Dragonlord Warlock
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08/03/2014
Vous m'avez écrit, et la réponse, c'est... moi !
Delphine Seyrig vue par François Truffaut. Photographie DR
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02/03/2014
Alain Resnais, les réalisateurs meurent aussi
"Quand les hommes sont morts, ils entrent dans l’histoire. Quand les statues sont mortes, elles entrent dans l’art."
Photographie DR (source Tout le ciné)
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09/02/2014
Barbara à lire, à voir, à entendre...
"Pour moi ça a toujours été une question d'énergie. Que ça soit une énergie toxique, une énergie violente ou une énergie positive et pleine d'amour, qu'elle soit communicative ou non" - Barbara Steele
Barbara Steele ce sont tout d'abord ses films, tout les joyaux du gothique italien sont disponibles en DVD grâce essentiellement à Artus et Seven 7. Sans oublier sa prestation pour Roger Corman et ses collaborations pour Fellini, Dante, Monicelli et Schlöndorff.
Ensuite l'idée de cette semaine est venue à l'automne quand Éric Escoffier a sortit son livre consacré à la belle, Barbara Steele, la diva du cinéma fantastique. Éric Escoffier est une figure du fantastique à Nice, biberonné à Midi-Minuit Fantastique, à Corman et Fisher, il est le créateur du fanzine Les Monstres de la nuit, collectionneur passionné, organisateur d'exposition de ses superbes affiches, et animateur de divers ciné-clubs où il accompagne inlassablement les films qu'il adore. Après un bel ouvrage consacré à Peter Cushing, il récidive en auto-édition avec ce nouveau titre. L'originalité de son approche est de conserver sous des aspects classiques le principe et le ton des fanzines, notamment les envolées lyriques quand il s'agit de célébrer l'icône Steele. Escoffier s'attache essentiellement à la douzaine de films fantastiques tournés par notre actrice, reléguant dans d'autres chapitres les autres aspects de sa carrière. Il se plaît avec érudition à nouer les fils des filmographies des différents participants à ce cinéma populaire européen des années soixante. Le livre vaut aussi, pour beaucoup, à une riche illustration, là encore très fanzine dans l'esprit, principalement sortie des collections de l'auteur (dossiers et pavés de presse, photographies d'exploitation, roman photo). L'ouvrage se commande directement à l'auteur : Éric Escoffier, 2 bd Raimbaldi 06000 Nice - 168 Pages - Prix 20€ + 3€ de frais de port.
A lire un article (en anglais) de Barbara Steele où elle évoque longuement sa carrière : Cult Memories (The Perfect Vision, Vol. 6 Issue 23 - Octobre 1994).
Deux sites généralistes avec plein de photographies : www.barbarasteele.com et www.barbara-steele.net
A voir encore sur la Toile cette superbe galerie où elle est en blonde. Sur certains clichés elle ressemble à Kim Novak dans Vertigo.
Sur le Brian drive-in theater.
Sur Senses of cinema
A écouter sur France Culture dans l'émission Mauvais genres par François Angelier.
A voir et écouter pour celles et ceux qui comprennent la langue de Dante :
09:28 Publié dans Actrices, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : barbara steele | Facebook | Imprimer | |
08/01/2014
Les indiens ne sont plus très loin
Tournage de Stagecoach (La chevauchée fantastique - 1939).
06:06 Publié dans Acteurs, Cinéma, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : john ford, john wayne, andy devine | Facebook | Imprimer | |
25/12/2013
Aurens en tournage
19:16 Publié dans Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : david lean | Facebook | Imprimer | |
21/12/2013
Fritz Lang par William Friedkin
11:14 Publié dans Cinéma, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fritz lang, william friedkin | Facebook | Imprimer | |
09/11/2013
Jolie langue
La grande Catherine et Jacques Perrin au volant. Dans les rues de Rochefort ? Photographie DR.
22:33 Publié dans Panthéon | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : catherine deneuve, jacques perrin | Facebook | Imprimer | |
15/03/2013
Musical !
20:48 Publié dans Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fred astaire, ginger rogers, william a. seiter | Facebook | Imprimer | |
19/01/2013
Coup d'oeil
Catherine Deneuve pour une fois derrière la caméra sur le tournage de Répulsion (1966) de Roman Polanski. Source Pictures
20:08 Publié dans Actrices, Cinéma, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : catherine deneuve, roman polanski | Facebook | Imprimer | |
09/01/2013
L'égérie
Lina Romay - Source Tikagedon
06:10 Publié dans Actrices, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lina romay, jesus franco | Facebook | Imprimer | |
07/01/2013
Une semaine avec Jesùs Franco
L'occasion est trop belle. La sortie du coffret Jesús Franco proposé par les éditions Artus m'a donné envie de consacrer une semaine, textes et images, à ce cinéaste particulier entre tous. D'autant que c'est en évoquant sa découverte que j'avais, en 2004, ouvert ce blog. Loin d'être un spécialiste, comme certains éminents confrères, je n'en ai pas moins l'envie de partager mon enthousiasme pour le cinéma de cet homme passionné et passionnant. Publication de l'ensemble complet sur les Fiches du Cinéma.
Difficile d'appréhender d'un geste, d'un texte, l'œuvre vaste et multiple de Jesús Franco. Le réalisateur espagnol qui fit ses débuts en 1959 avec Tenemos 18 años marche allègrement vers ses 200 films et la première difficulté est de plonger dans cette généreuse abondance. S'y repérer déjà car Jésus Franco travaillant sans sourciller dans les recoins les plus obscurs du cinéma d'exploitation (Zombies, vampires, films avec nazis, films de femmes en prison, érotisme voire pornographie, horreur, fantastique, espionnage, croisements improbables, curieusement pas de western à ma connaissance), a utilisé au gré des circonstances les noms de Jess Franco, Franco Manera, Jess Frank, Robert Zimmerman, Frank Hollman, Clifford Brown, David Khune, James P. Johnson, Charlie Christian, David Tough, Cady Coster, Lennie Hayden, Lulú Laverne et quelques autres. Faire le tri ensuite entre ce qui relève des réalisations purement alimentaires expédiées en quelques jours, les projets plus ambitieux, les films qu'il investit de ses fantasmes iconoclastes et ceux où transparaît son amour des grands mythes du fantastique. Et puis tous ceux qui mélangent tout cela et essayer alors de dégager quelques lignes de force. Vaste tâche mais comme disait le regretté René Goscinny, les ibères sont rudes.
Une mise en scène directe qui intègre naturellement l'étrange, l'onirique, le fantasme, et rejoint en cela un autre prestigieux espagnol, Don Luis Bunuel avec lequel il a partagé l'honneur d'être mis à l'index par l'église catholique. Sa mise en scène correspond à un rapport tout aussi direct au cinéma. Plus que tout, Franco aime filmer, il aime être dans l'action du cinéma, la réalité concrète du plateau, et se moque de ce qu'il y a autour. Sa frénésie de cinéma l'amène parfois à des écarts techniques caractéristiques comme l'utilisation de zooms à outrance, de mises au point hasardeuses et de plans flous.
Le goût des belles femmes faisant de belles choses, les choses en question pouvant aller assez loin sous le regard amoureux de Franco. La présence de ses égéries, Soledad Miranda, Lina Romay et Alice Arno, est encore le meilleur marqueur de son œuvre. Là encore Franco malgré ses démêlés avec la censure est particulièrement direct et filme l'origine du monde en gros plan.
Le goût de la musique, Franco étant lui-même musicien (c'est ainsi qu'il débute dans le cinéma), il a des bandes son surprenantes comme celle de Venus in furs composée par Manfred Mann, film dans lequel Franco apparaît en musicien de jazz. Jazz que l'on retrouve assez souvent dans ses films sans que des compositions plus expérimentales ne le rebutent. Ce goût se double d'idées originales sur le son qui le rattachent de nouveau aux surréalistes comme cette utilisation de cris de volaille omniprésents dans Célestine bonne à tout faire. L'ensemble, en partie dictée par les conditions de tournage des films comme chez les ténors de la Nouvelle Vague, leur donne une atmosphère sonore particulière et décalée. Ayant travaillé avec Orson Welles, Franco a une foi inébranlable dans le cinéma et ne recule devant aucune expérimentation.
Plaisir des acteurs. Si Franco n'est pas un grand directeur d'acteur, il aime à s'entourer d'une troupe fidèle, comptant sur son engagement pour donner vie à ses idées les plus folles. Il aime surtout les personnalités, les trognes, les corps divins ou difformes, les visages inquiétants, sensuels et beaux. Il aime ce qui sort de l'ordinaire. Son univers se construit autour des compositions régulières de Howard Vernon, inoubliable Dr Orloff, du trio féminin Soledad Miranda, Lina Romay et Alice Arno, d'Antonio Mayans, Robert Woods, Tania Busselier, Olivier Mathot, et de quelques autres prisés des spécialistes, mais également sur des acteurs plus renommés au fort tempérament qui apportent avec eux, outre l'argument commercial, d'indéniables références cinéphiles comme Christopher Lee, Mercedes McCambridge, Klaus Kinsky, Rosalba Neri, Helmut Berger, Margaret Lee ou Jean Servais.
Tout ceci crée un monde anarchiste et sensuel, foutraque et paillard, étrange et léger, musical et trivial, assez unique dans l'histoire du cinéma. Comme le revendique un excellent blog dédié au réalisateur, Jésus Franco est un état d'esprit.
L'ensemble de quatre films édité par Artus Films, Venus in furs (1969), La comtesse perverse (1974), Plaisir à trois (1974) et Célestine bonne à tout faire(1974) avec de belles copies et des interventions passionnantes et conséquentes des spécialistes Alain Petit, Jean-Pierre Bouyxou et Jean-François Rauger, constitue une bonne introduction à cet univers. Laissez vous aller...
Les films de Franco en DVD
Photographies : Sources Lausanne underground film and music festival, Breakfast in the ruins et Treasures.
A lire également le Bien nommé Dr Orlof sur Causeur et l'ensemble d'Albin Didon chez Baloonatic, partie 1, partie 2 et partie 3. Pour commencer...
06:41 Publié dans Cinéma, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jesus franco | Facebook | Imprimer | |
03/01/2013
Accordéons
22:40 Publié dans Cinéma, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : leos carax | Facebook | Imprimer | |
19/12/2012
Alien (tournage)
19:48 Publié dans Cinéma, Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ridley scott | Facebook | Imprimer | |
15/12/2012
Pour qui sont ces serpents...
Kirk Morris dans les couleurs sublimes de Maciste all'inferno (Maciste en enfer - 1962) réalisé par Riccardo Freda. Source Tout le ciné.
10:33 Publié dans Panthéon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : riccardo freda | Facebook | Imprimer | |