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Rechercher : john ford

Motif : chevauchée

John Ford Blog-a-thon
 
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 De haut en bas : Stagecoach, Three Godfathers, Fort Apache et She whore a yellow ribbon. travellings latéraux à pleine vitesse, ivresse du mouvement. (capture DVD Montparnasse et Warner).

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Poupée

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Debbie Edwards (Lana Wood) dans The searchers (La prisonnière du désert - 1956) de John Ford et Setsuko dans Hotaru no Haka (Le tombeau des lucioles – 1988) de Isao Takahata. Merci à Rom qui m'a inspiré ce rapprochement.

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24/07/2009 | Lien permanent

Profondeur de champ

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De haut en bas : The long Voyage home (Les hommes de la mer - 1940) de John Ford ; Il figlio di Spartacus (Le fils de Spartacus - 1963) de Sergio Corbucci et Paper Moon (La barbe à papa - 1973) de Peter Bogdanovich. Captures DVD Warner, Opening et Paramount.

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Du coté d'Inisfree (1)

john ford

John Ford et Maureen O'Hara en Irlande pour le tournage de The quiet man (L'homme tranquille - 1952). Entre les deux avec les lunettes, sans doute Meta Stern proche et discrète collaboratrice du maître.

Photographie Irish Film Institude / Republic Pictures

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Cannes (5)

Ford, Ford, Ford.

C'était le cri du coeur en forme de boutade d'Orson Welles qui nous a été rappelé par Peter Bogdanovitch sur la scène de la salle Bunuel. A la question : « Quels sont les cinéastes que vous admirez », il avait répondu : « Les grands maîtres du passé, c'est à dire John Ford, John Ford et John Ford ». Impossible pour moi de manquer le documentaire de Sam Pollard, John Ford / John Wayne : The filmmaker and the legend. Ford est toujours très présent pour moi, et j'ai l'impression qu'il continue d'alimenter les imaginaires et les réflexions de nos contemporains. Ainsi, après Spielberg dans Munich, c'est Alain Etchegoyen qui cite L'homme qui tua Liberty Valance dans une chronique consacrée au courage politique publiée dans le Figaro. Bref, si je n'ai rien appris de fondamentalement nouveau dans le film de Pollard, il a l'intérêt d'envisager la carrière de Ford à travers se relation avec son acteur de prédilection, John Wayne. 13 films ensembles, une collaboration aussi riche et dense que celles de Léaud avec Truffaut, Mastroianni avec Fellini ou Huppert avec Chabrol. Le film montre bien comment Ford a fait, progressivement, avec nombre d'hésitations, de Wayne son alter-ego bien plus que Fonda. On voit la complexité des rapports entre les deux hommes et leurs contradictions devenir le moteur d'oeuvres uniques. Ford, démocrate, ardent défenseur du New Deal, courageux, engagé dans les services secrets, alcoolique, autoritaire, cassant, pénible sans doute, poète à coup sûr ; et Wayne, très à droite, marqué par son image patriotique, qui ne porta jamais l'uniforme, mais encaissant sans broncher, gentil sur les plateaux comme le rappelle avec humour Mark Rydell, très pro, finalement simple et naturellement un très grand comédien (Moullet a bien raison). Et Ford qui sait faire porter à Wayne le poids trop lourd pour lui de ses interrogations, qui en fait son double dans des oeuvres aussi complexes que La chevauchée fantastique, Le massacre de Fort Apache, La Prisonnière du désert et ... Valance. Ford qui finira par retrouver les positions de Wayne sur la fin de sa vie alors que le « Duke » va à la rencontre des étudiants contestataires de Harvard avec beaucoup d'humour.

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Un seul reproche, l'oubli sans doute volontaire des films les moins connus qui me semblent pourtant enrichir la thèse de Pollard. Dans The long voyage, Wayne y est clairement un jeune homme (à près de quarante ans) constamment sous la protection de ses aînés. Sa création de Robert M. Hightower dans Le fils du désert préfigure celle d'Ethan Edwards. L'aigle vole au soleil, outre que Ford y fait jouer son propre personnage par Ward Bond, est une réflexion subtile sur le couple (une fois encore Wayne et Maureen O'Hara) et la dévotion à la patrie. Les Cavaliers et Rio Grande sont deux films d'aventures qui posent aussi la question de l'unité du pays et dans lesquels Wayne est toujours le nordiste, le progressiste dont le sens du sacrifice passe avant tout, y compris la famille. La plupart des acteurs de cette épopée artistique sont aujourd'hui disparus et le film, narré par Sidney Pollack, donne la part belle aux critiques et aux cinéastes admirateurs (Bogdanovitch, Scorcese, Milius, Rydell) avec un joli sens de l'équilibre quand l'un d'eux (un critique) avoue sa détestation de l'Homme tranquille. Tant pis pour lui, je reste un indéfectible d'Innisfree.

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Actualité fordienne

Grande nouvelle rapportée par la revue Variety, La New Zealand Film Archive vient de faire une découverte enthousiasmante dans un coffre : 75 films américains des années 1910 et 1920, dont Upstream, un mélodrame réalisé par John Ford en 1927 pour la Fox et considéré comme perdu. (Source Cinémateaser.com). Dave Kehr sur son blog a posté quelques photographies superbes. Autre découverte issue du coffre, une bande annonce d'un autre film disparu, Strong boy de 1929 avec Victor McLaglen. Comme quoi il est possible de trouver du Ford aux quatre coins du monde, la dernière fois, c'est chez nous que l'on avait mis la main sur une oeuvre inédite.

Pour ce qui est des oeuvres connues, il est possible de les revoir sur grand écran pendant deux mois. Depuis le 1er juin et jusqu'au 30 juillet, la Cinémathèque de Toulouse propose un vaste cycle consacré à John Ford. Rétrospective de ses films avec projections en plein air à partir du 26 juin et une exposition Que viva John Ford qui puise dans les collections (affiches, photographies) de la Cinémathèque. Suivez le lien pour les détails.

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Trois sublimes canailles

Difficile de passer à côté de cette incroyable photographie récupérée sur Twitpic après l'avoir découverte sur la page facebook d'un ami réalisateur et tout aussi fan que moi du grand John. De ce que j'ai pu apprendre, elle a été prise en 1971 à Palm Spring par Victor Skrebneski à l'occasion d'une visite impromptue de Dennis Hopper et John Huston (le premier envoyé prendre en photo le second) à John Ford alors malade et passant la plus grande partie de son temps au lit.

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So long

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Photographie : Glen Ford Online

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L'entretien avec le grand homme

On commence par voir des films. De plus en plus. Puis on parle des films. Puis on lit des revues, des livres, des études sur les films et le cinéma. Puis l'on réfléchi sur les films et le cinéma. Et l'on commence à écrire sur les films et le cinéma. Et l'on sort les grands mots et les grandes théories. Et puis l'on disserte, on critique, on analyse. Et puis on tombe sur (ou l'on retrouve) cet entretien avec John Ford réalisé en 1971 par Peter Bogdanovich.

 

 

Traduction (personnelle je vous préviens)

Ford : Allez, action

Bogdanovich : M Ford, j'ai remarqué que votre vision de l'Ouest était devenue de plus en plus triste et mélancolique... Si l'on compare Wagonmaster (Le convoi des braves) à The man who shot Liberty Valance (L'homme qui tua Liberty Valance) ?

Ford : Non.

Bogdanovich : Etes vous conscient de ce changement de ton ?

Ford : Non.

Bogdanovich : Maintenant que j'en parle, y-a t'il quelque chose de vous souhaiteriez dire à ce sujet ?

Ford : Je ne sais pas de quoi vous parlez.

Bogdanovich : Puis-je vous demander quels aspects particuliers du western vous plaisent, depuis le début ?

Ford : Je ne sais pas.

Bogdanovich : Etes vous d'accord que le sujet de Fort Apache (Le massacre de Fort Apache), c'est que la tradition militaire est plus importante que l'individu ?

Ford : Coupez !

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Proposition

La 35e édition du festival international du film de La Rochelle (29 juin – 9 juillet) rendra hommage à John Ford en proposant une rétrospective en collaboration avec l'Institut Lumière. Il m'est venu l'envie de proposer à mes camarades bloggeurs de profiter de l'occasion pour organiser ce que nos amis cinéphiles américains appellent un blog-a-thon. Vous avez peut être en mémoire ceux auxquels j'ai participé sur Angie Dickinson et Alfred Hitchcock.

 

Le principe en est simple. Sur la période du festival, ceux qui le souhaitent publient sur leur blog une ou plusieurs notes sur le sujet et l'ensemble est mis en réseau à partir d'Inisfree (ce qui, en l'occurrence ne manque pas de sel). Nous devrions obtenir sans aucun doute un superbe ensemble critique aussi divers que nos écritures respectives. Je précise qu'il n'y a rien à gagner sinon le plaisir d'échanger sur le grand homme. Je vous propose donc la tenue du :

Blog-a-thon John Ford

29 juin au 9 juillet 2007

Si vous êtes intéressés, inscrivez-vous en commentaire. Pour les lecteurs qui souhaiteraient participer mais qui n'ont pas de blog, je serais ravi d'héberger leurs textes pour l'occasion. Qu'on se le dise !

 

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Quelques repères :

Filmographie sur IMDB

Dossier John Ford sur le littéraire.com

Fiche Wikipedia

John Ford sur le Ciné-club de Caen

Photographie : le maître dirigeant Tim Holt à Monument Valley lors du tournage de Stagecoach (La chevauchée fantastique). Source Moviediva

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