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12/02/2011
Les joies du bain : duo classique
Jane Fonda et Carla Marlier rejouent le duo Gabrielle d'Estrée et la duchesse de Villars du fameux tableau classique pour Roger Vadim dans son sketche Metzengerstein des Histoires extraordinaires (1968) d'après E.A. Poe. Jolis chignons. Source photographie : Film noir photos en qui j'ai trouvé quelqu'un qui partage mes plaisirs de salle de bain.
22:21 Publié dans Les joies du bain | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : roger vadim | Facebook | Imprimer | |
10/02/2011
Yobi
Je sais tout de l'histoire.
L'occasion était belle de regarder ce film avec ma fille qui va sur ses cinq ans, d'observer et de recueillir ses impressions. Premier constat, les 80 minutes passent bien et ont complètement capté son attention. A la fin du visionnage première question basique :
Ça t'a plu ? Oui...
Réponse directe qui me rassure d'autant que le film m'a laissé pour ma part un peu perplexe par moment. Mais encore.
Yobi, c'est un petit renard à cinq queues qui vient à l'école où il y a une copine qui ne voulait pas la voir. J'aime bien quand elle n'est plus renard à la fin.
Le personnage principal l'a séduite. Yobi est une fillette d'une dizaine d'années, bondissante (et pour cause, c'est une fille-renard, mythologie forte dans les contes asiatiques, chinois en particulier), qui chante et fait des blagues. Ma fille prend ses repères sur son quotidien : l'école et les copines.
J'aime quand Yobi fait semblant de grandir et quand elle escalade en renard
Ça faisait rire quand elle tombe et qu'elle fait semblant d'être grande.
J'aime bien la queue de Yobi et aussi quand les extraterrestres sont dans la maison de Yobi et qu'elle veut aller s'allonger parce qu'elle est énervée. Je pense.
Yobi a la faculté de changer son apparence. J'avoue que cela m'a parfois décontenancé parce qu'elle possède des pouvoirs assez étendus mais sa maîtrise est à géométrie variable. Mais ma fille est passé outre les incohérences de ma vision adulte. Parfois ça marche et parfois non, d'où suspense et gags. Une chose est sure :
C'est pas un film qui fait pleurer.
Par contre qu'en est-il de la dimension fantastique du film, quand interviennent un chasseur de fille-renard avec ses molosses et une mystérieuse ombre aux non moins mystérieux desseins ? Les chasseurs, depuis Bambi, leur sort est réglé. Mais l'ombre...
Ça faisait pas peur. L'ombre était en fait un animal en pierre et elle redevient ombre. Mais quand même c'est mieux si tu restes avec moi quand elle vient, l'ombre.
Et à la réflexion.
J'ai eu peur quand l'ombre se transforme en pierre. C'est pas trop drôle, du tout, du tout, du tout.
Par contre la dimension mystique du film, histoire assez compliquée de recherche d'âme, est très bien reçue dans le domaine du merveilleux.
Les âmes, c'étaient des petits oiseaux qui volent dans le lac magique.
Et en conclusion, contrairement à moi :
C'était pas compliqué à comprendre.
21:55 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lee sung-gang | Facebook | Imprimer | |