Très belle coïncidence : je lisais justement il y a peu une analyse de la scène dans le monumental bouquin de Berthomieu consacré au cinéma hollywoodien classique. Merci de me l'avoir fait découvrir (je connais très peu De Mille mais il vaut certainement mieux que l'image du cinéaste biblique que je m'en fais).
Pour la petite histoire, DeMille a prolongé autant que possible le tournage de la scène parce qu'il voulait voir les seins de son actrice. Celle-ci, plus rusée, à réussi a le frustrer en calculant bien ses gestes et en ayant une assistante avec une serviette toujours au bon endroit. A quoi tient l'érotisme raffiné.
Depuis ce film, j'ai nettement révisé mon opinion sur DeMille.
Commentaires
Damned ! coquin de matous !
La température monte là où bien ?
Quoiqu'il en soit j'adore les Louboutins romains ^^
Écrit par : FredMJG/Frederique | 16/10/2010
Très belle coïncidence : je lisais justement il y a peu une analyse de la scène dans le monumental bouquin de Berthomieu consacré au cinéma hollywoodien classique. Merci de me l'avoir fait découvrir (je connais très peu De Mille mais il vaut certainement mieux que l'image du cinéaste biblique que je m'en fais).
Écrit par : Dr Orlof | 17/10/2010
Au code Hays, nous devons peut-être une bonne part de la Lubitsch's touch mais aussi de nous avoir privé pendant longtemps de ce genre de plaisirs.
Écrit par : Ed(isdead) | 17/10/2010
Pour la petite histoire, DeMille a prolongé autant que possible le tournage de la scène parce qu'il voulait voir les seins de son actrice. Celle-ci, plus rusée, à réussi a le frustrer en calculant bien ses gestes et en ayant une assistante avec une serviette toujours au bon endroit. A quoi tient l'érotisme raffiné.
Depuis ce film, j'ai nettement révisé mon opinion sur DeMille.
Écrit par : Vincent | 18/10/2010