2003 en musique (Zoom arrière) (07/04/2018)
Je n'y reviens pas assez sur Inisfree, mais l'aventure Zoom Arrière poursuit sa route. Publication du top 2003 avec un bel éditorial signé Edouard qui nous ramène à des pratiques que nous avons tous connues. Cahier bleu ou fiches cartonnées, petit carnet rouge et noir ou calepin moleskine il fallait garder une trace avant que n'arrivent les blogs et leurs notes en ligne. Sur l'année 2003, difficile de me reconnaître dans le sommet, un film que je n'ai pas aimé à sa sortie et que je n'éprouve, contrairement à d'autres, aucune envie de revoir. Je préfère nettement les cartes postales de Henri-François Imbert aux travellings arrière interminables de Gus Van Sant. L'ensemble des résultats est contrasté, c'est l’intérêt de l'exercice, et pour moi j'en retiendrais une belle année de cinéma asiatique, d'animation et de quelques grandes œuvres musicales.
20:04 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : bruce springsteen, joe hisaishi, luigi boccherini, ennio morricone, yann tiersen | Facebook | Imprimer | |
Commentaires
J'aime tout de Master et Commander avec en cadeau bonux cette idée de génie : mettre un violon guitare :-) dans les grosses pattes de Russel Crowe. Cette musique...
Écrit par : Pascale | 12/04/2018
Plus je vois ce film, plus je l'aime. C'est lui qui m'a fait découvrir Ralph Vaughan Williams. Et c'est juste que Crowe a rarement été aussi bon et fin que dans ce rôle.
Écrit par : Vincent | 12/04/2018
Master and Commander: film superbe, sûrement un des meilleurs de cette année.
Écrit par : Strum | 16/04/2018
On est d'accord Strum. Quel film !
La scène où Russel ramène son ami toubib sur les galapagos au lieu de poursuivre son obsession est sublime.
Écrit par : Pascale | 23/04/2018
Je suis ravi de votre enthousiasme à tous les deux. Il me semble qu'à l'époque, le film n'avait pas tellement marqué alors que quand même ! Il est peut être un peut atypique pour l'époque, c'est vrai que la scène dont tu parles, Pascale, ce n'est plus le genre de choses que l'on voit tellement de nos jours. J'avais aussi adoré la scène où le chirurgien s'auto-opère.
Écrit par : Vincent | 23/04/2018